Ghost Opera | Carmen

Je me tiens fasse à une grande bâtisse en ruine, je lève mes yeux vers le haut lisant un mot sur une placarde à moitié effacé. Je passe par l'entrée éventrée de sa porte de verre, l'endroit regorgeait d'objet d'une ancienne époque mais ce qui restait des tapis rouge et des murs étaient détruit. Un endroit bien singulier qui me plaisait déjà.

Je lève le pied pour monter sur un tas de grava bouchant l'entré du théâtre où des rayons de soleil baignait l'ancienne salle prestigieuse. Je m'arrête regardant le spectacle où le vent balaie la poussière sur la scène et fait volé le reste des rideaux de velours rouge. Mes yeux se plissent et je descend d'un pas tranquille sans un bruit. Je prend place sur un vieux siège, décapsulent une bière et la porte à mes lèvres pour boire une gorgé.

Je soupir m'adossant contre le siège, la tête légèrement penché l'air songeur et je passe ma main droite sur ma barbe puis dans mes cheveux. Des pigeons s'envolent d'un coup traversant la pièce vers le ciel que je regarde d'un air lointain. Lily me restais dans l'esprit, cette jeune fille belle, souriante et avec des yeux d'un bleu pur de plus elle est une louve ... je soupire.

- Mon pauvre vieux tu en tiens une couche.

J'avale le reste de ma bière que je pose après par terre, je pensais à Noémie aussi ... J'aurais pu la sauvé si seulement j'aurais su avant ! Je prend ma bière que je lance avec toute mes forces et qui se fracasse contre le mur dans un bruit qui se répercute dans la salle. Je plonge mon visage dans mes mains puis me redresse. Si ce vieux fou aurait pu me trouvé plutôt si mes parents se seraient bougé pour m'apprendre ce que j'étais non ... sa aurait était trop facile ... il a fallut que ma sœur meurt pour cela !

Je me lève les poings fermé et descend les marches pour arriver à la scène où je monte pour avoir une vue d'ensemble. Je regarde le théâtre de bas en haut, une vieille fresque ternie décorant le plafond ou un vieux lustre se balançait. Je ferme les yeux entendant le sifflement du vent comme un chant de sirène comme si l'endroit vivait encore gorgé de fantôme mais j'entendis une porte claqué et l'odeur de quelqu'un me parvient clairement. Je fixe droit devant moi les portes qui donne sur les halls d'entré ... qui cela peut-être ?

Je met mes mains dans mes poches de mon Sweat attendant la fameuse personne qui est venus troublé elle aussi le repos de ce théâtre. Je dis elle car la silhouette qui se décrit en haut des premières volées de siège rouge n'était que la silhouette d'une jeune femme charmante de plus. Mes yeux or suivait l'avancé de la jeune femme qui avait du mal dans les escaliers peu convenable après tant d'année. Je viens nonchalamment au bord de la scène où la jeune femme se tiens. Aucune ôra n'était percevable, voila donc une humaine en chair et en os enfin. Je souris heureux de trouvé un bon vivant.

- Bonjour ! Pas du tout ... qu'est qu'une jeune femme comme vous viens faire dans un endroit pareil ?

Pour moi je comprenais j'ai un look un peu d'un clodo, une barbe mal rasé et un type qui fait pensé que je travail en tant qu'ouvrier dans de l'acier mais elle c'est tout le contraire une grande brune à la silhouette élancé et aux habilles soignés. Je passe ma main sur ma barbe un geste habituel puis tend ma main vers elle.

- Phillip Brooks mais vous pouvez m'appelai Phil et votre petit nom ?

Tout le monde pense que je suis une brute du à mon physique plutôt athlétique façonné par la nature et ces heures de randonnées que je ne compte plus. Je suis un homme calme et très sympathique ... le bon vivant qui garde une pars de lui mystérieuse. La grande brune aux yeux bleu me fixait tout le temps et je ne peux que sourire un peu plus.

- Cela fait peu de temps que je suis arrivé aussi ... je ne sais pas l'endroit ma attiré j'aime beaucoup me plongé dans le passé et ce théâtre est fabuleux.

Sa poignée de main est bien plus délicate que mes mains de fer, des mains qui foule la terre et le bois durant la journée. J'ai eu peur de lui faire mal à la main par mon manque de délicatesse que voulez vous quand vous êtes un loup solitaire comme moi et que vous n'avez jamais partager votre vie par une créature féminine.

- Enchanter de faire votre connaissance Carmen.

Quand je vois des jeune femmes ou des gens comme cela je sais pourquoi je suis devenus un loup, c'est pour protéger des gens comme cela que nous sommes ici et je prend cette mission très au sérieux. Je me redresse marchand vers l'escalier du centre.

- Pourquoi ne montiez-vous pas sur la scène avec moi ?

Je lui tend ma main car les marches ma paraissait peu fiable, car le bois pas entretenue pourrie et meurt malheureusement. Je lui souris mes cheveux bruns bougeant après une légère brise soulevant des rideaux de soie au loin.

je prend sa mains la tirant un peu avec la peur que les marches l'emportent et je la laisse un peu admiré la spectacle. Je met mes mains dans mes poches car il ne faisait pas si chaud que ca par ici. Et dire que je vais retrouvé mon appart' aussi humide que ici ou sinon je n'ai cas dormir à la belle étoile, c'est une solution on va dire.

- Oui c'est malheureux ! Mais regarder au plafond il y a une fresque à moitié effacer mais qui nous donne une bonne idée de l'endroit lors des soirées de fête.

Je reste planté à ma place essayant de détaillé un peu plus la fresque qui est simple avec ma vue plus subtile que les êtres humains, regardant de temps en temps Carmen qui se balade, sa chevelure brillant sous les rayons de soleil. Elle me tend une cigarette que je décline poliment.

- Non merci, je bois mais je ne fume pas.

Je rigole repensant à ma bouteille d'avant qui à éclaté en mile morceaux contre le mur. Mes iris d'or s'assombrissant un peu, je fronce légèrement les sourcils pensant à quelque truc par ci par là. Puis passe ma main dans mes cheveux brun déjà en bataille.

- Ce théâtre est comme l'humanité qui ce détériore de jour en jour et qui va devenir bien assez tôt un monde en ruine.

je l'ai murmuré mais ma phrase reste audible malheureusement c'était la triste vision que nous avons à présent du monde. Surtout non loup- Garou voyant de plus en plus d'Akumas rodé et d'humains nous chassant malheureusement.

- Pourquoi avoir emménager en ville Carmen ?

Je tourne ma tête en venant vers elle mes yeux or tirant sur l'ocre aujourd'hui scrutant son visage fin et bien dessiné. Mes pas se répercutant sur le planché en bois sombre ou de milion de danseur et autre avaient foulées bien avant.