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 Jared Curtis.

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Jared Curtis

Jared Curtis


Messages : 16
Age : 30
Puf : Daichi
Célibataire ? : Pour longtemps !
Espèce ? : Humain.

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MessageSujet: Jared Curtis.   Jared Curtis. EmptyLun 17 Déc - 20:19


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JARED

CURTIS

Feat. Jared Leto.


Sexe : ♂
Age : 27 ans
Genre : Humain.
Sexualité : Hétéro.
Parents et origine : Ils ne veulent plus entendre parler de lui.


Once upon a time...

Mon histoire ? Je ne sais pas si elle est intéressante … Je ne sais pas si vous allez pouvoir me comprendre plus après cela ... Je ne sais pas si vous allez plus m’apprécier ou plus m’haïr mais si cela doit être ainsi, voilà mon histoire.

Je m’appelle Jared Curtis, je suis l’ainée de ma famille. Je suis née un certain 26 décembre 1985 en pleine période de noël. Mes parents étant des catholiques pur et dur me voyais déjà comme un cadeau du ciel, j’ai un second prénom Joseph mais je le dis très peu à pars sur les papiers officiels et encore. Je disais mes parents étaient des catholiques, ma mère Béatrice Curtis c’était marié avec un immigré Italien, Carlos Ricci fervent catholique qui a entrainer ma mère là-dedans et moi par la même occasion. Ma mère était déjà marié avant et elle s’est remarié avec Carlos mais nous avons conservés le nom de famille de son ex-conjoint. Enfin bref … C’est ainsi qu’elle « trouva la foi ». Je n’étais pas plus emballer car l’église je n’y avais jamais mis un pied dedans ! Et j’avais dans l’absolue raison de m’en méfier !

Du jour au lendemain, ma mère était sur mon dos en me faisant la morale, en me disant d’être comme ça et pas autrement car « tu dois être un exemple parfait pour tes jeunes frères et sœurs. » Je n’ai jamais rien demandé moi ! J’étais forcé à aller à ses messes, un vieillard le pied à moitié dans la tombe qui toussotait plus sur son micro qu’il ne parlait, chanter des textes débiles et en plus être assis sur des bancs en bois qui vous donne mal aux fesses ! Puis vous levez, vous assoir, vous levez … Et si je ne faisais pas ce qu’ils attendaient de moi, mes parents m’engueulaient copieusement et surtout mon « père » qui avait le sang facilement chaud. J’étais enfermé entre leurs idées fanatique, je n’avais qu’une envie c’était de brûlé cette église, cette église qui à changer ma mère ! Je finis par me détacher de plus en plus de ma famille en écoutant de plus en plus « la musique de Satan ». Led Zeppelin, The cure, Pink Floyd … J’étais de plus en plus fasciné pour ce nouveau genre qu’on appelait « rock ». Je retrouvais dans cette musique la liberté que je rêvais inconsciemment, me libéré des chaînes qui m’entravais en me scellaient face contre sol et étouffaient mes rêves de jeune adolescent. J’étais de plus en plus en conflit contre mes parents, pire quand je commençais à apprendre la guitare et à m’intéresser à l’art. Mes parents ne comprenaient pas, c’était des choses inutiles pour eux et ils brandissaient la bible devant moi en disant que ça c’était « la bonne voie ». J’ai finis par lancé la bible dans le feu déclarant la guerre mais pourtant je n’ai jamais voulu cela … Je n’ai jamais voulu me prendre la tête avec mes parents ! Je voulais juste vivre mon rêve de faire de la musique.

A 18ans je pars de la maison avec mon groupe de musique pour enfin vivre la vie que je rêvais et voyait au travers des magazines de rock. Je voulais vivre à fond ce credo que tout le monde scandait « Sex, Drugs and Rock’n’roll ». Nous avons vite du succès auprès d’un large public, nous buvons et nous avions toutes les filles que nous voulions. Nous vivions notre rêve à fond et ça portait leur fruit. On est vite propulsé comme nouveau groupe de l’année. Je me donnais à fond dans ma passion, j’aimais partager ma musique avec mes fans et j’étais heureux en quelque sorte. Du côté de ma famille, j’étais la honte de ma famille, un échec cuisant pour leur fierté. Ils m’ont tous tourné le dos, mes parents avaient soulevé mon petit frère et ma petite sœur contre moi aussi. Je n’avais plus personne et étrangement cela me blessa. Ils ont tout fait pour détruire mes rêves mais cela restait ma famille. Enfin bref la célébrité nous monta vite à la tête je fais la connaissance de l’alcool fort, la cigarette et même un peu la drogue. Mais je ne savais pas qu’on devient si rapidement et facilement dépendant de la drogue, je pense qu’inconsciemment la merde commença maintenant et c’est juste aggravé plus tard. J’aurais dû arrêter tout de suite …

Jusqu’au jour où j’ai un coup de téléphone de mon père qui m’annonce la mort de ma mère froidement, enfaite elle était morte déjà depuis bientôt 3mois. A ce moment je tombe de haut, de très haut … Ma mère est morte sans que je ne sache rien. Elle avait une tumeur qui l’a tué à petit feu, avant que mon père me crache au visage enfin façon de parler mais même par téléphone l’effet était le même, que c’était moi qui l’avait tué, elle n’avait jamais supporté la vie que j’avais choisis. Ce fut un des plus gros choque de ma vie je pense. Je n’avais que 21ans et cela faisait 3 voir 4 ans que je n’avais pas vu ma mère ! Maintenant se dire que je pourrais plus du tout la revoir, ce fut un sacré choc. Inconsciemment j’étais touché de plein fouet car elle était restée ma mère, j’ai toujours eu une relation étroite avec elle même si à la fin a était difficile. Après cela je me détournai totalement de la vie, je m’enfonce dans une dépression noir et la drogue devient vite l’essence de mon existence ! Ma consolation pour un peu de bonheur pour un temps éphémère avant que la spirale infernal recommence ! Je devenais accroc sans m’en rendre compte, quand je n’avais pas ma dose je m’en prenais aux membres de mon groupe en devenant violent. En retour eux me passait des savons, ils m’engueulaient en disant que je ne valais vraiment plus rien et j’étais finalement devenus rien qu’une foutu épave ! Je leur pourrissais la vie quoi et quand je m’en étais rendus compte il était trop tard. J’étais devenu totalement dépendant à la drogue. J’étais totalement perdu vivant comme sur une autre planète, naviguant entre les moments ou je planais, la violence et la dépression. Je m’en voulais à en crever d’avoir tout bousillé et cela me tirais encore un peu plus vers le fond ! Les autres me le rendait bien, j’étais devenus transparent et comment aurais-je pu les en vouloir ? Ils avaient raison de plus en plus me haïr et je me mettais moi-même de côté. Je souffrais en silence, les yeux dans le vague et vivant selon mes besoins de dose. Finalement tout le monde m’enfonçait un peu plus, me reprochant ceci ou cela, m’accusant et chargeant mes épaules un peu plus de responsabilité comme quand j’étais gamin, j’avais une pression énorme sur moi ! Et la seule chose que je trouvais réconfortant c’était la drogue encore une nouvelle fois, un instant de bonheur dans ce monde d’e****é !

On arrivait à la fin de notre « saison » de tournée et à la fin du groupe aussi … Il n’y avait que des tensions dans le groupe, donc ce festival sera notre dernier et final concert certainement en tout cas ils n’avaient pas l’air être abattu par les remords, ils avaient envie d’évoluer dans d’autres groupes, alors que moi je souffrais encore un peu plus. La musique était une passion brûlante pour moi, ce groupe était mon idée et tout partait en fumée. Ma passion et ma vie me glissaient entre les doigts comme du sable et je ne savais pas comment faire pour sauver tout cela. Comment faire quand vous êtes seul face à tout cela ?

J’arpentais le festival à la recherche d’un « passeur », ils n’étaient pas très nombreux sur les festivals, normal vu la sécurité ! Et je commençais à avoir peur de ne rien trouver, j’ai sacrifié ma dernière dose hier soir et là j’en avais vraiment besoin ! J’avais finalement trouvé mon bonheur, un musicien d’un groupe qui passait avec nous qui plus est. Enfin je ne m’attardais pas sur les détails, j’avais juste besoin de ma dose ! Il me la refile dans le bus tour du groupe alors que j’allais m’en aller, un mec était assis avec le regard fixe complètement à l’ouest. Je lui jetais un bref regard lâchant un « S’lut » vite fait avant de disparaitre. Je n’étais pas timide juste gêner, je n’aime pas que les gens sachent pour mon côté « drogué ». Je me suis juste appris à me méfier d’eux … C’était mon problème voilà tout.

J’avais pourtant trouvé une petite amie, elle m’aidait doucement à m’en sortir même si j’étais de plus en plus sûr qu’elle allait trainer chez un notre du groupe. Mes soupçons c’était trouvé juste quand je me suis rendu sous un grand chapiteau pour boire un coup, de la drogue fraiche parcourant mes veines. Je la voyais être tripoter par le guitariste de mon groupe, le sang n’a fait qu’un tour en moi et je me suis jeté sur lui ! Il y avait bien une chose qui me faisait sortir de mes gonds, c’était qu’on me pique ce que j’aime car j’ai déjà tout perdus ! On m’avait déjà volé ma famille, puis ma mère juste parce que je voulais vivre ma vie alors qu’il aille se faire foutre ! Je le prenais par le t-shirt avant de décocher une droite, je l’ai projeté de toute mes forces contre les tables avant de continué et de continué, la drogue faisait effet d’adrénaline me rendant encore plus speed que jamais. Un autre mec fracasse une chaise sur un autre, putain c’était le même gars que dans le bus ! J’avais à peine le temps de reprendre mon massacre que les gorilles de la sécurité nous sautent sur le poil. Je me débâtais comme un fou gueulant qu’on me laisse lui faire avaler ses dents ! J’ai finis au commissariat de police puis finalement j’ai étais jugé pour consommation de substance illicite et foutu l’autre salaud dans le coma. 3ans et le marteau du juge résonnait dans mon esprit jusqu’en prison.

La première chose que j’ai pensé c’était ma dose, comment allais-je survivre ? J’étais complètement angoissé rien qu’à cette idée alors qu’on était entrains d’être conduit à notre cellule par un gardien, notre cellule parce que oui le gars qui était coffré en même temps que moi était en même temps que moi en prison ! Me demander pas pourquoi je ne connaissais même pas son prénom ! J’étais dans mes pensées imaginant mile et un supplice de vivre sans ma dose, une clameur s’élève dans la prison. Les voix des prisonniers résonnant et s’amplifiant dans le bâtiment comme un beau bordel me laissant juste un frisson glacé descendre mon dos. Le gardien se retourne vers nous :

« C’est leur chant d’accueil. »

On arrivait enfin devant notre cellule, je restais figé face à cette cage alors que l’autre prenait la couchette du haut. Peut-être que finalement je vais devenir complètement timbré avant d’être libéré … Je déposais mes affaires au pied du lit avant de me rouler en boule sur le matelas.

~~

L’autre, enfin James, nous avons quand même fait les présentations, au final n’étais pas trop là durant la journée. Je n’allais pas me plaindre, les premiers jours avaient était difficile pour moi. Un endroit étroit, rien pour se défoncer … J’avais tout simplement l’impression de vivre un cauchemar ! Finalement de mon côté j’avais trouvé des mecs de la prison qui dealaient. Un jour, j’étais assis en indien sur mon lit et le dos contre le mur. Je planais tranquillement avec les yeux dans le vague et James était encore entrains de gribouiller une chanson. C’était son grand kiffe à croire que la prison l’inspirait ! J’en avais ris la première fois mais bon chaque un son délire. J’étais magnifiquement bien trouvant cette paix que je chérissais tant, jusqu’à qu’il me sort un truc.

« Mon père me manque. Mais t'es sûrement trop perdu pour te rappeler de ton propre père. »

Je le fixe pas un moindre mouvement de mon visage alors que je réfléchissais à sa phrase. Mon père ? Lequel ? Mon père biologique ou ce foutu italien de mes deux qui à aliéné ma mère à sa religion de catho ? Un bref sourire anime mon visage avant que je lui réponde d’un ton plus brisé que je ne voulais.

« Pourquoi je me rappellerais de la personne qui a le plus pourris ma vie ? »

Je rigole devant mon propre malheur, c’était si pathétique ! Pourtant mes yeux devenaient humide, je repensais à ma mère surtout, elle que je n’ai pas pu revoir avant qu’elle s’éteigne à cause de « mon père ». C’est toi qui l’as tué ! Fils indigne ! Tu as tué ta mère, voilà ce qui a conduit en suivant cette voie …. Il a détourné tous ce que j’aimais contre moi, pourquoi je voudrais m’en rappeler. Je bats des cils James qui m’observaient encore, je me lève partant de la cellule sans un mot. Je n’aimais pas quand quelqu’un m’observais de ce petit regard de genre « pauvre petite chose ». J’ai bien dû le mérité après tout.

~~

Un soir je tournais dans mon lit, je n’arrivais pas à fermer les yeux 2 sec, j’avais l’esprit trop encombré. Je pensais à mon groupe qui ont du se frotter les mains et ne pas attendre pour me remplacer. Après tout je ne faisais plus rien et dans l’avenir je ne ferais pas plus certainement … Une épave mec ! Tu n’es qu’une putain d’épave ! Mais merde réveille toi, tu n’es qu’un con pour te mettre dans un tel état pour juste ta mère, de toute façon elle voulait plus entendre parler de toi ? Eh bien voilà t’en ai débarrasser. Je n’ai jamais rien fait d’extraordinaire c’est sûr. Je soupire pour la énième fois, le cœur lourd et la gorge noué. Quand soudainement une voix basse remplis le silence de la cellule. Je m’étais figé couché sur le ventre alors que je lève mes yeux vers le haut me demandant si c’était bien lui. Il chantonnait doucement mais c’était clair, pourquoi faisait-il cela ? Je m’endormais finalement d’un sommeil plus calme alors qu’il continuait de chantonné.

Le lendemain vers l’après-midi mon cœur commençait à s’emballer et des frissons glacés me prenaient à bras le corps. Je marchais vers ma cellule d’un pas trébuchant car j’avais quelque vertige. Je jetais des regards de droite à gauche ayant l’impression que tout le monde m’observais, que toute le monde me fixais en sachant pour la poudre sous mon matelas, que j’étais un artiste raté et que je ne valais pas un clou. J’arrivais dans la cellule complètement angoissé alors que je me recroqueville dans un coin de la cellule les mains tremblante et la respiration difficile comme si on m’étranglait. Je m’enferme encore plus contre moi étouffant un peu plus ma cage thoracique, mes doigts fermement accroché à mes bras pendant que les larmes dévalent mes joues et que sans avoir conscience je me balance légèrement d’avant en arrière alors que je bredouille des mots.

« C’est pas de ma faute … Pardon … Non … Non … »

Mes doigts se crispent sur mes mèches sombres, je détournais mon visage sentant quelqu’un s’assoir à côté de moi. Je n’avais pas vraiment besoin de deviner c’était James. Je tentais de calmé ma crise alors que c’était le gros silence … Un putain de gros silence. Je relevais mon visage pour voir ce qu’il voulait quand d’un coup il me prend dans ses bras assez brusquement en m’ébouriffant les cheveux. Je fais des yeux ronds, qu’est-ce qu’il fou ? Je bats des cils trouvant la chose un peu étrange … beaucoup même. Juste perdu … Si seulement, je suis plutôt juste au fond du gouffre. Je soupire remarquant avec un peu de gêne que ma crise c’était calmé. Il avait bien un truc sur le cœur aussi ? A ce moment-là il craque finalement, je reste silencieux passant ma main dans ses cheveux avant qu’elle se place derrière son dos. Mais je restais silencieux de toute façon je ne suis vraiment pas doué pour réconforté les gens, je ne dis jamais les bonnes choses … Alors j’ai préféré le serrer étroitement entre mes bras, le protéger tout en me permettant de m’accrocher à quelque chose pour calmé ma crise d’angoisse. Peut-être est-ce la première personne que je serre aussi fort …

~~

Après le déjeuner je vais voir « mon dealeur » voir ce qu’il avait à proposer et peut-être me vendre. Je pense que depuis que j’étais en prison ma dépendance à doubler en tout cas j’en prenais plus qu’avant ! Mais je ne suis pas du genre à me plaindre mais tous mes vieux démons m’avaient poursuivi et cette cellule était rien d’autre qu’un cauchemar ! J’avais pas mal d’angoisse, de peur et de cauchemar entassé dans c’te petite pièce et chaque jour je me demande ce que je fou sur cette putain de terre ! Je faisais même plus attention à James, je descendais de plus en plus bas silencieusement comme toujours. Je discutais avec le dealeur après notre échange, il me disait que cela devenait de plus en plus difficile de s’en procuré et que les prochains temps allait être difficile. Rien qu’avec cette perspective je commençais à baliser ! Je jetais un coup d’œil circulaire quand je remarque James venir vers nous, j’avais presque oublié son prénom sur le coup. Je plisse les yeux alors qu’il m’écarte avant d’emmener l’autre gars plus loin. C’était quoi son délire ? Dans un sursaut après un instant de fixe, je les rejoins voyant James régler son compte avec le dealeur.

« Putain mais qu’est-ce tu fous ! »

Je retiens son bras en tenant son poignet entre mes doigts avant de prendre son autre bras le tirant en arrière pour qu’il lâche ce pauvre mec ! Je le repousse me mettant devant lui le fixant, mes doigts se serrant en poing avant que je le repousse par les épaules.

« C’est quoi ton problème à la fin ?! Tu veux prendre encore des jours et pourrir ici ? Hein ! »

Il va bientôt pouvoir sortir de ce trou à rat et ce con pourrait encore se rajouter des jours, et pourquoi en plus ? Hein pourquoi ? Il est complètement barré ! Mais j’ai à peine le temps de voir sa main qu’une monumentale baffe frappe ma joue. Je fronce les sourcils mes doigts se crispant, qu’est-ce qu’il en sait ?! Qu’est-ce qu’il en sait … J’allais rétorquer quand il me pousse, mon dos cogne le mur pendant que les gardiens se jettent sur James. J’observais la scène hébété, je me laissais finalement doucement glisser le long du mur passant une main dans mes cheveux. Je fermais les yeux ses mots résonnant encore dans mon esprit et ma joue était en feu.

Après cela je ne l’ai plus revu à part le jour de son départ pour rechercher ses affaires. Il était rentré comme si de rien était, qu’est-ce que je disais il n’y avait rien … Nos chemins ce sont juste croisé comme ça. Il ne fera pas plus ou pas moins que les autres après tout. Je l’observais silencieusement assis sur ma couchette comme d’habitude et je voyais très bien qu’il cherchait quelque chose. Je soupire avant de me lever lui tendant sa paperasse avec toutes ces chansons.

« Je les avais caché au cas où … Tu t’en vas enfin ? A dieu alors et bon courage pour la suite James. »

~~


Je sortais enfin de prison au bout de mes 3ans et étrangement la dernière à était la plus difficile. Je touchais vraiment le fond, enfaite je n’avais même plus conscience d’être une épave, un truc rachitique, les yeux dans le vague et complètement déconnecté de la terre. Pourtant quand je voyais l’entré déserte, mon cœur se serra … Bien sûr il n’y avait personne qui m’attendais, ma famille, mon groupe ou encore des paparazzis. Il n’y avait que le vent balayant le sable et frappant mon visage livide et figer. Je ne pensais pas que cela allait tellement me blesser, de voir que vous avez autant massacré votre vie, que vous finissez seul comme une merde. Il y avait juste les gardes qui vous fixaient derrière leurs lunettes de soleil, j’aurais pu jurer qu’aux coins de leurs lèvres un sourire moqueur voulait naitre. Je crois qu’à ce moment là j’avais juste envie de m’écrouler sur place, de dire au monde mais bordel laissé moi crever ! Je pense que c’est à se moment là qu’autre chose en moi se brisa, je n’étais plus qu’une putain d’ombre et finalement peut-être que je le méritais …

Je rentrais en taxi prenant quelques jours une chambre d’hôtel, le temps de cherche un nouvel appartement mais pas dans ma ville natale. Non, j’avais besoin de me couper de mon passé, d’être dans un truc calme et laisser mes vieux démons au placard. Je trouvais finalement un petit appartement à Sanderward, petite ville tranquille mais animée. Je rassemblais quelques économies pour m’offrir l’appartement, pas bien grand mais cela me suffisais pour moi tout seul. De toute façon je n’y ferais pas grand-chose à pars dormir, être défoncé sur le canapé la plus part du temps et quand je me rappelerai manger un petit bout, quand il y avait quelque chose dans le frigo.

Je me promenais dans Sanderward comme un fantôme, allant dans des rues aux hasards les redécouvrant à chaque fois. Mon corps fin était caché sous une épaisse veste noir et je déambulais ainsi jusqu’à la nuit tombé. Je retrouvais les dealeurs dans les quartiers malfamés, il m’arrivait de croisé d’étrange mec ou de devoir détalé comme un lapin car les fliques patrouillaient. La musique ? Je ne pouvais même plus frôler ma guitare sans avoir les mains qui tremblent, de penser à mon ancien groupe que j’ai laissé tomber et surtout ma mère … Je m’en voulais alors je me l’interdisais purement et simplement. Je n’étais plus digne de vivre ma passion … Enfin il faudrait déjà que mon esprit redescende à la réalité, plus aucun mot ou texte le traversait. J’étais mort de l’intérieur, je vivais comme un poisson rouge, alors que je contemple mon plafond blanc laissant la seringue glissé entre mes doigts … mais qu’est-ce que je kiffais ça !

Quand j’avais le courage d’ouvrir un magazine rock, étrangement le nom Jared Curtis n’avait pas encore disparus de tout les magazines, de vrais fans avaient encore l’espoir de me revoir remonter sur scène avec un nouveau groupe ou d’autre rageurs crachaient véritablement sur ce que j’étais devenus … Qu’est-ce que ca pouvais me foutre ? De toute façon ce rêve est bien loin à présent et je ne savais finalement plus rien faire … Je n’étais plus Jared Curtis …


Personality

Jared est assez difficile à définir mais ces deux principaux traits de caractère sont, énigmatique et taciturne. Il parle peu, il est très silencieux mais il observe énormément. En même temps il a un regard de rêveur qui fait craquer beaucoup de fille. Il est énigmatique car il reste vague, il ne prend même pas la peine de répondre à certaine question ou dé fois il répond une connerie. Mais son plus grand plaisir c’est de brouillé les pistes en jouant de sa charme, il sait qu’il plait aux demoiselles et il en profite de temps en temps. Sinon il a un caractère bien tremper quand il se sent à l’aise, il n’est pas du genre timide, pas du tout même mais est plutôt renfermé. Quand il est clean c’est un jeune homme plutôt dynamique, casse-cou dans des sports extrêmes. Il est très passionné pour les choses qu’il aime, il y met tout son cœur et c’est peut-être ce qui lui vaut parfois des déceptions. La musique est toute sa vie pourtant il brise cette passion peu à peu avec la drogue. Quand il est défoncé, il est impassible et d’un calme effrayant, même si dé fois il peut péter une pille et très bien casser la gueule à quelqu’un mais pour ça il n’a pas besoin de la drogue. Il observe d’un regard éteint le monde qui l’entoure. Il a la tête d’un pommé certain dirons mais il est plutôt un homme qui souffre en silence. Peut-être brise-t-il sa passion, sa vie car il s’en veut pour la mort de sa mère, sans avoir conscience c’est certainement de sa faute tout cela. Après il n’est vraiment pas du genre à parler de ses états d’âme, il est mieux seul car il a était déçus par les gens. Il se débrouille, il n’a pas besoin d’avoir des casseurs de rêve sur son dos ou des gens qui le rejettent tout simplement car il est devenu une « épave ». Il préfère plonger seul en silence que d’autre viennent l’enfoncer un peu plus dans la merde. Sur scène c’est un tout autre homme aussi, il se donne à fond, il est déchainer. Il a un énorme sourire avec les yeux pétillant alors qu’il regarde le public et qu’il est coulé sous les applaudissements. C’est l’endroit le plus merveilleux au monde dira-t-il, là où vous vous sentez libre, où vous vous donnez corps et âme à ce que vous aimez au plus profond de vos tripes !


Physical appearance

Physiquement Jared n’est pas ce qu’on pourrait appeler « une armoire à glace », il est assez loin ! C’est un petit mec enfin façon de parler il fait un joli 1m78, assez fin mais musculeux. Il est bien foutu quoi. Il est mignon, c’est ce ces fanes pensent de lui. Il a de grand yeux bleu de rêveur, un sourire qui ne montre pas souvent mais craquant. Il est déjà passé par plusieurs coiffures, cheveux mi-long à la simple crête. Ca ne le dérange pas de changer de coupe mais il garde le même look. Plutôt slim, converse et t-shirt ou marcel. Dé fois un trait d’eye-liner quand il y pense. Il laisse aussi de temps en temps la barbe de quelques jours s’installer, ce n’est pas un truc qui le dérange. Il a plusieurs tatouage, une phrase sur sa clavicule droite, sur ses avant-bras, sur les mollets et d’autre. Ce ne sont que des signes qui ont tous une signification.


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And You ?

Prénom/PUF : Laura/Daichi.
Est-ce ton premier perso ici ? : Non malheureusement je suis la présidente du club des super gays Cool
Comment as-tu connus Protect Wolf ? : Je refais la déco de temps en temps donc voila !
Mot de la fin : Tralala ~ What a Face


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James Maxwell
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MessageSujet: Re: Jared Curtis.   Jared Curtis. EmptyJeu 24 Jan - 11:19

    Magnifique <3 ! bon pas besoin de dire que tu es validée,
    hâte de le voir en rp et non pas en d'autres action plus intimes, juste en rp
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