I'm Sorry | Lazare | [contenu réservé à un public averti]

I'm Sorry
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Les ramoneuses de cheminées n'ont pas pu s'empêcher de faire un topiic qui dérape à la fin XD
Il fallait s'en douter !

Le village était sombre, triste ... il n'y avait pas un chat ! Tant mieux c'est ce qu'il me fallait, mes pas faisait un bruit sourd sur le vieux ciment craquelé, je porte pour une première fois un jean's plutôt banale coupé droit et un pull beige avec un coll en V. Je soupir mes yeux noirs sans vie braqué par terre, je marche doucement comme si chaque pas me conduisait vers une mort certaine. Je croise mes mains les posant sur mes bras car j'avais légèrement froid et pourtant je suis mort ... bel et bien mort depuis des siècles mais je le ressentais encore plus depuis quelques mois.

J'avais passé 1semaine formidable aux côté de Lazare, je ne l'ai jamais oublié même dans les pires moment son visage me revenait nuit et jour ca avait rendus fou Bill et il c'est bien vengé. Je passe à côté d'une vitrine me regardant quelque instant, je ne ressemblait plus à rien ! Il m'avait fait souffrir pendant bien 1 semaine, attaché à un lit avec des menottes qui me taillaient les veines comme dans du beurre. Il ma tabasser, touché, craché dessus, insulté ... toute les horreurs que j'avais oublié ! Je suis redevenus le Lestat d'avant, froid, fou, méchant et dégueulasse. Je n'avais plus rien à perdre de toute façons.

C'est la première fois en 2 mois que je sors, mes jambes arrivent à supporté le poids de mon corps et la douleur s'était atténué mais les blessures étaient là : des hématomes partout sur le corps, un bleu sur ma joue droite, ma lèvre ouverte et ces poignets recouvert de bandage. Je continus ma marche lente toujours mes bras enroulé autour de moi. J'étais simplement détruis comme Bill le voulait mais une partie de moi se rebelle encore et toujours, cette partie qui appartiens à Lazare. Je lève mes yeux m'arrêtant d'un coup, je me fige regardant l'homme en face de moi. Mes lèvres se tordent pourquoi était-il aussi ici ?!

- Lestat je me demandais ou tu étais ? Je suis aller chez toi mais personne ... Ça ne va pas ?

Il me touche le bras, va-t-en ! Dégage enlève tes sales pattes ... je sentais mon corps se tendre, je le regarde d'un air fou et d'un coup je serre son cou autour de mes mains. Tu m'as fais passé 1 semaine de souffrance pure, cela ne te suffit pas ? J'étais à ton service pendant plus de 3 mois ... Mon créateur me regarde en riant et il dit d'un ton mielleux.

- Non non ! Tu sais que tu ne le pourras jamais, n'oublie pas notre accord Batard ! Je suis venus pour simplement te dire que je rentre à Paris sans toi bien sur mais je reviendrais sois en sur mon cher Lestat.

Il rigole desserrant mon emprise d'une main, je voulais tellement le tué mais j'étais bien trop faible ... je serre les dents retenant un crie étouffé sous la pression mes bandages autour de mes poignets se teintent de rouge. Il me caresse le visage je m'en lève d'un geste violent, ma tête me tourne affreusement et l'envie de vomir me prend au cœur. Il part en sifflotant comme si de rien était. Je vais le tué un jour ... je le ferais ... Mes jambes chancellent et je me retiens contre le mur posant ma main sr mon visage. J'étais écœuré par cette personne tout simplement. Je reste contre le mur rejetant ma tête en arrière mais quelques larmes dévalent mes joues quand même : "Je reviendrais ... " ces mots tourne dans mon esprit comme si le diable me les avaient murmuré juste devant la porte des enfers.

Je me redresse reprenant mon chemin tant bien que mal, mon corps souffrait comme plongé dans un bain d'aiguille et rien ne peut atténué cette souffrance ... Je serre les dents mais mes mains tremblent et les taches de sang s'agrandisse au file de mes pas. J'arrive dans un parc complètement abandonné mes yeux toujours fixé par terre. Pourquoi il me manque tant ? Je glisse ma main d'un geste lent dans ma poche ressortant son petit bout de papier que j'ai toujours gardé. Comment pourrais-je me montré en face de lui à présent ? Je me sens si souiller, le sentiment de l'avoir trompé me dévore de l'intérieur ... Je n'ai pas arrêté de pensé à lui mais est-ce que lui pense encore à moi ? Je devrais arrêté de rêvé maintenant. Mes mains se dé serre légèrement et le bout de papier s'envole et je le suis du regard quand il se colle contre une chaussure. Je lève précipitamment mon regard, un peu trop vite pour ma tête et je croise son regard ... Ma respiration se bloque d'un coup et mon cœur bat une fois, un battement de douleur violente. Je sens à nouveau mes jambes fléchir, je n'en peux plus !

Je me laisse tombé à genoux ressentant toute la douleur de mon corps me transpercé, pourquoi était-il ici ?! Je ne veux pas qu'il me voit ainsi, ma lèvre ouverte me faisait affreusement mal peut-être à cause de mes dents qui s'y enfonce consciencieusement comme pour me punir ... Je ne peux même pas le regardé dans les yeux, j'étais à bout de force ... Deux gouttes s'écrasent sur le sol. Lazare que fait tu ici ?! Pourquoi dois-tu me voir ainsi ? Je ... je ne ... mais ...

Tu aurais pu réagir ?! Pourquoi tu me fais encore croire en des choses que je n'aurais jamais ... Je fixe ces yeux brumeux, effacé d'une lueurs pâle comme un matin frais. Il est tellement calme que ca en devient frustrant comment pouvait-il se laissé faire ? Il est près à tendre sa joue même si je le frappe mais il attendait et ce que je lui donna, mes caresses, il les désirait et appréciait d'un soupir. Je le regarde mon visage indéchiffrable, j'étais froid et distant mais pourtant en moi tout était différent : c'était une tempête de sentiment et de souvenirs s'entremêlant.

Une dernière larme roule sur mes joues alors que je contemple ce visage qui ne m'avait jamais quitté. Je sentais chaque parcelle de sa peau frissonné sous mes doigts alors qu'il tend sa main aussi vers mon visage, je me crispe un peu ... un peu de trop même : Ce n'est pas ce vieux fou me répétais-je mais je sentais encore les mains de ce pervers et cela me dégoute que Lazare touche ma peau si souiller.

J'avoue que j'aurais du réfléchir alors que je me jetais dans ces bras mais l'envie était plus forte pourtant je sentais mauvais, je me dégoutais moi même comment Lazare peux le supporté ?

J'entends sa voix calme, apaisante ... si je pouvais : je voudrais mourir dans tes bras maintenant. Ma gorge se serre étrangement, je relâche la pression que mon corps exerce contre celui de Lazare qui lui souriait ravie. Il m'avait tellement manqué ce sourire aussi ! Il remonte ma manche découvrant le bandage que je me suis fais vite fais, je ne suis pas le meilleur des médecins malheureusement. Mon bras comportent quelque hématome en plus et quelque trace de doigt comme incrusté sur ma peau.

Je me détache vraiment de lui enlevant mon bras entre ces doigts, le cachant sous ma manche comme une honte. Il devrait même pas me touché ! Je fais un léger signe de la tête répondant positivement à sa question, je cache mon visage à l'aide de ma main fermant les yeux et sentant le mal aise me reprendre.

- J'ai essayé de le tué ... mais ... Je le regarde puis remonte légèrement mon pull jusqu'à découvrir mon torse lui montrant 3 profondes entaille barrant l'emplacement de mon cœur. Il ... il c'est vengé comme il se doit, comme il le fait si bien.

Je baisse mon pull cachant cette cicatrice qui à du mal à s'effacé et le reste de mon corps encore moins beau que mon bras. Ma gorge est sèche, je me sens si humilier et honteux de me montré devant lui ainsi. Alors qu'il me dit que je l'ai manqué du fond du cœur, ce qui me fit sourire de bonheur mais je pose un doigt sur ces lèvres les scellant. Je secoue légèrement la tête.

- Comment peux-tu encore m'apprécier dans l'état où je suis ? Comment fais-tu pour ne pas être dégouté et vouloir encore de ce corps si mutilé qui à était touché par des mains si sale ?

Je ne comprend pas, il doit me l'expliqué ... J'enlève mon doigt le laissant descendre le long de son menton que je place en-dessous attirant son visage vers le mien mais je m'arrête avant. Je ramène mon bras vers moi puis je me relève.

- Je te traine même dans ma poussière après ma honte ... c'est plutôt moi qui est impardonnable.

Mon regard ce pose à un point précis plus loin là ou ce vieux pervers m'avait croisée ... Mes lèvres se tordent et je pose mes yeux à nouveau sur Lazare. Il commence doucement à comprendre comment je pense mais nous sommes tout les deux assez buté à vraie dire.

Je n'avais pas remarqué que son chat était avec nous, ce n'est pas étonnant il le suit comme sa propre ombre, au moins quelqu'un gardait un œil sur lui. J'enroule à nouveau mes bras autour de moi écoutant la pensé de Lazare, il était franc dans ces propos et je souris légèrement.

- Merci ... Mais cela va mettre un moment avant de disparaitre. C'était un véritable choc de le revoir et je n'avais pas prévus au tant de chose ! Ça prendra du temps mais j'ai tellement envie de quitte cette vie maintenant, de quitté ce troue à rat ...

Mais je n'ai pas de maison aucun endroit qui m'accueillerais, personne que je ne connais à pars Oscar et ... toi. Je croise le regard brillant du chat alors que je regarde Lazare le perché sur son épaule. Quand d'un coup il se retourne, je le regarde en desserrant mes bras. Je l'écoute mes yeux parcourant son dos sentant son corps se crispé, je serre mes doigts ... Comment peut-il sortir de pareil stupidité ? Je fronce les sourcils me rappelant de cette claque mémorable et ... mon rouge à lèvres je me disait bien que je l'avais laissé quelque part.

Je fais un pas vers lui, agrippant sa manche et je le tourne vers moi pour me faire face à nouveau d'un geste non violent mais autoritaire. Je fronce les sourcils.

- Regarde moi s'il te plait ! Mais comment je vais réagir le jour ou il reviendrait ? Je te laisserai à nouveau de côté et je te blesserais encore puis tu m’accueilleras comme si de rien était. Je serre les dents sentant quelques blessures se réveillés mais je lui enlève sa prise contre sa poitrine d'un geste rapide. Je n’ai jamais dis que je ne voulais pas de toi, je ne comprends juste pas comment tu fais pour accepté ma vie actuelle ? Je prends son visage brulant entre mes mains. Comment peux-tu croire que je veux me débarrassé de toi ? Lazzie je n’ai pas passé 1semaine pour faire jolie, c’était pour te protégé avant tout mais ce que je n’avais pas prévus c’est l’importance que tu allais prendre dans ma vie et le retour de ce vieux ! Essai juste de me comprendre, je me sens mal car il m’a tout simplement à nouveau détruit et j’ai peur de ce que je pourrais te faire, j’ai peur de l’avenir …

Je le regarde droit dans les yeux, mes mains entourant son visage je lui caresse doucement ses joues avec mes pouces. Peut-être que les sentiments que je te porte pourraient passé au-dessus de cet obstacle ? Enfaite je l'espère de tout mon cœur, je ne veux pas renoncé à toi aussi facilement. Je m'approche un peu plus réduisant l'écart entre nos deux corps, je rapproche mon visage ne quittant pas ces yeux et puis je l'embrasse, légèrement réservé au début mais qui se fait bien plus pressant à la fin ... à la longue fin car oui ce baiser à durer un bon moment comme pour rattrapé c'est mois d'absence. Je me décale de quelque centimètre mon regard se porte sur le chat qui ronronne de satisfaction comme s'il reflète les pensées de son maitre. Je garde une main sur la joue de Lazare et de l'autre je caresse le chat rapidement et je murmure.

- Tu es vraiment chanceux toi, tu le savais ? Pouvoir le gardé si près de toi à tout moment, le suivre comme son ombre ...

Je jette un coup d'œil de biais à Lazzie ma phrase bourré de son entendus mais c'est à ce moment que je brise ma caresse. Nous étions un peu dans une impasse, je réfléchis assez vite me décalant de quelque pas en arrière. J'eus une idée d'un coup, mes lèvres s'étirent dans un sourire et je lui prend sa main avec le peu de force que je peux déployé pour le guidé. On longe quelque vieilles boutiques comme figé dans le temps passé. Nos pas résonnent dans la ville presque fantôme et je pousse la porte d'un vieux magasin de photographie.

- Ce n'est pas chez moi mais c'est plutôt ma planque quand la boîte de nuit se fait un peu trop étroite et étouffante, je viens ici pour me changé les idées. A vraie dire je n'ai pas de toit et je me suis installé ici en gros mais je passe le plus claire de mon temps chez Oscar.

Je hausse les épaules puis je rebrousse chemin pour fermé à clef la porte par anxiété, une habitude que j'ai depuis quelques mois seulement ... Je me sens comme une bête traqué enfaite et j'ai peur de le revoir chaque matin devant la porte. Je jette un œil dans la rue dans la vitrine remplis de publicité. Je me retourne vers Lazare qui contemple tout les clichés qui doivent daté entre 18- 20ème siècle, je me demande s'il va reconnaitre une en particulier ... c'est ce que j'ai découvert dans ce magasin à vraie dire et qui ma donné envie de resté et de farfouillé dans les tonnes d'archives. Je souris venant près de lui et bien sur il l'avait trouvé. Je regarde la photo en noir et blanc.

- C'est la seule photo de moi étant humain je crois bien ... Je rigole. J'avais les cheveux long et je ressemblais bien plus à une fille à cette époque ! Je crois que même que cette photo à était prise le jour de mes 23ans.

Qui aurait pu croire que je vis depuis tout ce temps ? J'observe la photo avec nostalgie, j'étais assis au piano et entouré par les filles de l'auberge celle qui m'ont élevé depuis toujours. Je soupir puis continu mon chemin jusqu'à la cuisine suivit de Lazare, je l'invite à s'assoir sur une chaise autour d'une vieille table en bois. Je doute qu'il va surement me posé des questions sur mon passé vu qu'il ne connait rien de moi.

- Tu veux quelque chose peut-être ? Je n'ai pas grand chose désolé mais j'ai du café, du thé, de l'eau ... je n'ai pas l'habitude de recevoir.

Je prend une tasse encore fumante comme si je l'avais posé sortant précipitamment, je ferme mes mains froide autour de la tasse les réchauffant et la porte à mes lèvres. Je m'appuie contre le plan de travail regardant derrière la fumé de mon thé Lazare qui avait l'air pensif.

Je ne suis pas là pour me disputé avec lui et si je dois le perdre ainsi, je ne me le pardonnerais jamais ! Ce qu'il ne sait pas c'est l'obsession que j'avais jour et nuit, l'envie de le revoir à telle point que mon esprit n'était que focalisé sur lui et que je murmurais son prénom dans mon sommeil ... Bill était fou de voir cela, d'entendre ce prénom et il allait le tué mais j'ai pris sur moi. Je n'ai plus prononcé un mot, j'ai subit sans me plaindre le laissant se vengé sur moi, au lieu de se vengé sur celui qui me à pris beaucoup de place dans mon cœur mais : Lazzie je ne te le dirais jamais tout cela ! Je ne sais pas pourquoi mais je ne pas te l'avouer.

Étrange revirement de situation dire que j'étais un beau salaud depuis des lustres et maintenant j'ai l'impression d'être un innocent presque romantique. Mais je pense que le fait d'avoir toujours vécus avec des vrai Akumas ne ma pas aidé, j'avais oublié le côté humain qu'on pouvait encore ressentir ... je ne peux pas couper court à ce que je suis pendant un siècle. C'était évident que c'est ma qui le fuis et lui qui me poursuit du moins il le pense, mais je ne sais pas ... je l'ai quand même harceler pendant 1 semaine ! Mais bizarrement sans aller trop loin et encore là, je ne l'ai jamais dit que je l'aime ou quoi ce soit ! Je n'ai jamais dis que "je t'aime" à quelqu'un, je ne suis pas élevé ainsi l'amour qui dure dans le temps, je n'y crois pas beaucoup. Je soupir entendant sa question.

- Bien sur, je ne pas faire autrement ... même si je voudrais tellement ne pas y retourné ! Je n'ai pas de maison puis il m'a sauvé après que Bill m'est volé ma vie.

Je parle d'un ton résigné et banal comme si c'était le quotidien, ca l'est de toute façons ! Je sais que dans quelque jour il va venir ici et tenté de me faire revenir pour ces "affaires", mes yeux se ferme lentement soufflant dans ma tasse brulante. Bill, Oscar, machin, truc ... j'en avais marre de pensé à eux, que ma vie tourne autour de ces fumiers ! Mon dieu comment je vais me sortir de ce pétrin ? Le petit "ding" du micro-onde me fit redescendre sur terre, je prend la tasse et la posant en face de Lazare où je vois ma photo près de sa main. Je pose une boîte de métal avec des sachet de thé dedans, un pot de miel, du sucre et je m'assois en face de lui. Je pose ma tasse puis regarde ces gestes comme s'ils étaient vital pour moi, puis je tend ma main prenant la photo la regardant un instant puis la reposant. Je souris.

- Oui exclusivement des femmes qui sont courtisanes n'oublions pas.Cela fait depuis le 18ème siècle que je vis quand même ... Enfaite ma mère était une courtisane du nom de Katherine, un soir elle c'est fait violé par un habitué qui avait trop bu ... Elle est morte en me donnant naissance et elle à juste eu le temps de me donné un prénom. Je prend une gorgé de mon thé. C'est les filles qui m'ont élevé, je n'ai pas eu une enfance banale et donc me voila avec mon excentrisme, ma folie et mes tendances à enchainé conquête sur conquête ... l'amour éternel envers une personne n'est pas dans mes attributs on va dire. Je vivais très bien habillé en femme et je plaisait à beaucoup de client mais les filles ne voulaient pas que je deviennent comme elles disant que c'est une vie ingrate pour un si beau jeune homme, donc je jouais au piano dans le grand salon et c'est là où j'ai rencontré ce fameux Bill.

Je baisse les yeux aillant fixé Lazare tout le long, il fallait bien qu'il connaisse mon passé et je voudrais connaitre le sien aussi avec un peu plus de clarté. Je prend un peu de miel que je met dans mon thé puis je lèche la cuillère avec gourmandise. Je remonte mes manches prenant une boite derrière moi car je devais changé les bandages celle que j'avais ont viré au rouge sombre. Je défais mes bandages montrant mes entailles profonde pas très jolie à voir. Je continu mon récit tout enlevant l'autre bandage. Je parlais d'un ton détaché même si ces souvenirs étaient encore cuisant dans mon esprit mais je ne peux pas retourné en arrière.

- Je n'ai pas connus Bill enfaite, c'était une histoire d'un soir comme j'avais l'habitude de faire. C'était une nuit de plaisir et c'est tout mais je me doutais pas que c'était un démon, je ne connaissais pas notre existence avant. Je me souviens juste que je l'ai embrassé et que le matin je me suis réveillé comme vidé de l'intérieur, étrange sensation que tu dois en plus gérer seul. Je me suis enfuis de l'auberge mais je ne savais rien du tout de ce qui m'arrivait ! Je suis tombé sur Oscar pratiquement mort et il m'a tout expliqué sur les Akumas et sur Bill ... Ma vie à dérapé à cette instant et je me suis caché derrière une image et une réputation qui ne serait pas très bien vu de dire maintenant devant toi.

Sans m'en rendre compte mes mains tremblaient légèrement, je soupir regardant Lazare un instant puis me penche à nouveau sur mes bandages. Une goute de sang s'écrase sur le bois, je me demande quand ces blessures cicatriseront ?
Je regarde le chat dormant tranquillement sur la chaise puis ma voix s'élève tranquille.

- j'espère que cela t'aide à comprendre un peu plus.

Je serais à jamais relier à Oscar et Bill malheureusement à pars si je partage ma vie avec quelqu'un qui aurait la force de leurs résisté mais à pars attiré les faveurs d'un autre originel je n'aurais aucune chance. Cette vie me lasse peu à peu, fuir et enduré, l'idée d'en finir me frôle l'esprit de temps en temps encore plus en ce moment alors que j'ai découvert vraiment comment était mon créateur et ce don est capable Oscar pour attiré les faveurs des Anciens. Je serres mes doigts que je desserre très vite en tirant une grimace, ca fait un mal de chien !

J'essaie de faire mes bandages tant bien que mal et Lazzie avait remarqué que je peine pour me les faire. Il prit mon bras entre ces doigts, je me laisse faire regardant ces gestes. Je fronce les sourcils sous la douleur, il m'avait vraiment pas raté ! C'est bien la première fois que je souffre au tant. Je l'écoute attentivement comme quand il m'avait écouté un peu plus tôt. Lui aussi n'avait pas souvenir de sa mère ... je lève mes yeux sur lui.

- C'est pour ca que tu aide les loups garou ? Je respecte ton choix Lazare mais tu sais que tu met ta vie en danger en aidant nos "ennemis", j'avoue que être Akuma n'est pas la meilleure des places et que vouloir mourir, surtout quand nous avons pas eu le choix, nous frôle souvent l'esprit mais on peu continué à vivre tant bien que mal ...

Je le regarde sérieusement avec une émotion arrière jamais encore effleuré par mon corps mais ... mais je ne veux pas qu'il meurt. C'est difficile enfaite à définir, nous sommes tout les deux dégoutés de notre vie d'Akuma mais en même temps nous avons envie de vivre. J'ai l'impression de dire des conneries et de me faire des films ... j'arrête là le court de ma pensée ! Je ne suis jamais aller aussi loin dans une relation et ca ne peut que finir très mal. Je l'écoute en rajoutant aucune autre commentaire, je souris quand il dit que sa vie n'est pas comparable à la mienne. J'avoue nous avons pas le même âge mais devenir Akuma du jour au lendemain ne change pas au file des siècles c'est toujours terrifiant. Je regarde mes bandages impeccable à présent.

-Merci ... Tu es jeune dans tes années Akumas c'est pour cela que tu te rapproche encore de ta vie humaine. Je finis ma tasse. Depuis le temps que je traine avec des Akumas j'ai vite perdus toute humanité mais bizarrement j'ai complètement changé depuis quelques mois et ce à cause de toi ! Tu as de la chance car je suis bien plus terrifiant, c'est une mise en garde Lazare. Je ne dis pas ca pour te faire rigolé, j'ai passé 3siècles à tué des gens sans éprouvé de sentiment ou de pitier pour eux.

Mon regard acier se plante dans les siens, je pense que je ne pourrais jamais lui faire de mal mais je préfère en être sur le mettant en garde car pour l'instant je suis dans une années de flottement dans ma vie Akuma mais qui sait quand je reprendrais mes vieilles habitude surtout si Lazzie ne reste pas près de moi ... on ne pense pas à cette optique ! Je souris à sa question le regardant d'un air moqueur.

-Oui un lit étroit pour deux personnes ... ha ha ! Mais si tu veux l'utilisé pas de problème, de toute façons sa fait un moment que je ne dors plus et ce soir je ne dormirais pas non donc je pourrais resté sur le canapé pour te regardé dormir et qui sait ... je partirais peut-être à l'exploration de ton corps au milieu de la nuit

Je l'observe avec son éternel rougissement du à la gêne que je procure avec mes propos, se rougissement me manquait aussi, étrangement. Je rigole mais j'avoue que l'envie me tente beaucoup ...

- Je laisse ma place malheureusement à Mister Cat !

Je me lève rangeant les quelques trucs qui traine mais le souvenir des 4 jours passer avec lui me revient d'un coup en tête, c'est vraie que à la fin nous dormions ensemble ... je pose doucement la tasse dans l'évier en pinçant mes lèvres le dos tourné à Lazare. Le souvenir de ces bras autour de moi, de sa peau, de sa respiration si tranquille ... des matins ensoleillés ou je passais tout le temps à le regardé dormir jusqu'à qu'il se réveille. Je soupir en fermant les yeux, peut-être avait-il sentit mon trouble ?

Mes yeux se plisse passant doucement ma langue sur mes lèvres, s'il en a conscience je ne peux rien redire ... Je ne suis pas sa mère non plus ! Je me redresse posant doucement ma main au niveau de mon cœur sentant la douleur me relancé un peu. Je regarde Lazare avec un léger sourire, j'avoue que je me demande encore comment il a fait pour pas s'enfuir de peur au cinéma ! Je dis d'un ton absent.

- Peut-être parce que je ne suis pas comme d'habitude avec toi ...

Je fixe toujours Lazare qui avait un air de jamais vu sur son visage, je reste juste pendus à son regard ... Ouarg ! Mon esprit fanatique pervers s'envole vers des images. Je rigole lorsque qu'il dit une phrase d'un ton sarcastique, enfaite je ne sais pas précisément s'il aime que je dors avec lui ou c'est juste parce qu'il à pitier d'un pauvre mec qui à squatté son chez lui pendant 1semaine ... Alors que je triturais ma tasse dans l'évier en rêvassant, je sens d'un coup le corps de Lazare dans mon dos. Ma respiration se bloque d'un coup et mon cœur saute comme surpris lui aussi dans ma poitrine, mes doigts lâche la tasse : quoi pas de doudou ?! Ma pensé est coupé par la sensation de ces doigts, je me redresse me crispant un peu mais jeu à peine le temps de réfléchir de comment réagir qu'il sait sauvé.

Je me retourne me rattrapant au rebord de l'évier, mon dieu est-ce que c'est le vrai Lazare ? Je plisse les yeux puis monte doucement les escaliers freinant mon envie de me jeté sur lui, tel un prédateur je m'arrête sur le pas de la porte ou je m'adosse un instant. Je le regarde d'un œil gourmand assis sur le lit, la chambre déjà plongé dans l'ombre du soir à peine éclairé par une lune haute dans le ciel. Je m'avance doucement d'un pas souple enlevant mon pull d'un geste rapide découvrant mon torse qui faisait défaut à cette scène malheureusement, une ombre au tableaux mais j'avais envie de lui, irrésistible envie encore jamais ressentis. Je m'approche mettant mon impatience de côté, je souris comprenant quelque chose.

Je me met à califourchon sur lui mettant une légère pression au bas de son ventre, j'avais envie de le dévoré, de le consumé en entier ... Je capture enfin ces lèvres avec les miennes, un baiser doux et réservé. Ma main s'égare dans ces cheveux noir appuyant enfin mon baiser tirant sur le temps pour mieux frustré Lazare. Je met un peu plus de pression contre son corps, me délectant de ce moment tellement rêver. Mes mains descendante soulevant son pull, je me détache de ces lèvres enlevant complètement son pull pour mieux l'embrassé à nouveau. Je perdais doucement le contrôle mais c'était tellement fantastique de se laissé aller pour une fois.

Je ne force même pas le passage de ces lèvres car même lui en crève d'envie, je le sentais tout son corps en demande ... c'est la première fois qu'on va aussi loin. Je le pousse le faisant couché sur le lit où j'accompagne le mouvement ne brisant pas notre baiser. Ma main glisse le long de son torse puis j'entremêle mes doigts dans les siens mettant sa man au-dessus de sa tête. Je me détache reprenant bizarrement mon souffle, des frissons plein le dos et je le regarde.

- Je suis sur à présent que c'est toi et personne d'autre Lazzie ...

Je ne pouvais pas lui dire "je t'aime" aussi facilement même si je le pense très fort, mais je lui est avoué maintenant j'attends de voir. Mais je ne pas résisté ma main toujours dans la sienne l'autre parcours son corps remontant lentement jusqu'à son visage ou je caresse son cou puis mes lèvres viennent frôles sa peau laiteuse au niveau de sa gorge comme un vampire assoiffé non pas de son sang mais de son corps. Ma main vient déboutonné son jean's d'un geste sur et rapide mais ce soir je n'irais pas jusque là.

Mon cœur bat fort et régulièrement depuis que j'ai posé mes mains sur sa peau douce frissonnante. Ma respiration chaude s'écrase sur son corps qui réagit instantanément à mes gestes depuis quand je n'avais pas pris de plaisir à touché quelqu'un ? Depuis trop longtemps, cette sensation perdus et retrouvé en puissance 10. Lazare pousse un soupir, je souris satisfait relâchant son bras ... je pose mes mains sur ces hanches parcourant du regard son corps. Il me demande à nouveau, j'embrasse lentement son cou m'approchant du creux de son épaule puis je lui murmure.

- Le problème c'est que si je reste près de toi, je vais vouloir seulement te caressé et t' embrassé ... donc si tu veux un peu de tranquillité je dois resté loin de toi.

Je ferme les yeux sous sa caresse sentant son baiser papillonnant, c'est fou comme il est doux dans ces gestes. Je suis vraiment une brute comparé.Mon corps était tiède pour une fois aillant la ressemblance de quelqu'un envie pour une fois, j'avais tout simplement la sensation de revivre avec lui ! Mon cœur cogne avec force, je souris me redressant. Je ne lui répond pas tout de suite, je préfère le voir réagir sous mes caresses. Ma langue remonte le long de son torse sentant son cœur au passage, je fais un petit détour vers ses mamelons que je titille du bout de la langue, puis je passe sur son cou et je lui mord gentiment son menton. Je me redresse m'appuyant sur mes bras, le regardant avec une lueur nouvelle comme un feu ravivé, une force nouvelle.

- Le Seul et l'unique ! Je me rapproche l'embrassant derrière l'oreille ou je lui glisse enfin. Je t'aime Lazzie.

Je respire lentement l'odeur de ses cheveux sentant le citron et la fumée de sa pipe. Je me redresse, m'enlevant à contre cœur et c'est à ce moment que le chat vient d'un pas tranquille venant près de son maitre. Je souris enlevant mes baskets puis déboutonne juste mon jean's pour être un peu plus à l'aise. Je m'étire le dos faisant réagir mes blessures mais mettant en valeur ma taille fine.

- Aoutch saloperie de blessure ... C'est comme tu veux: si tu veux que je dorme avec toi ou si tu préfère que je te laisse tranquille mais je partirais un moment donné dans la nuit pour aller m'assoir sur le canapé. Enfaite je n'arrive plus à dormir et je suis vraiment crevé mais c'est plus fort que moi dé que je ferme les yeux je sursaute de peur !

Je soupir complètement blasé de mon insomnie qui dure et dure, moi qui aime dormir c'est vraiment pas ma veine mais entre resté réveillé ou revoir ce vieux pervers, je préfère gardé les yeux ouvert même si je dois tombé de fatigue un jour.

Je le regarde, l'envie irrésistible d'animé ce corps sous mes doigts me titille comme pas possible mais je ne suis pas en état de faire la totale et j'ai déjà fais un effort sur humain pour aller si loin même si cela paraissait naturel. Je tire les couvertures attendant sa réponse.

Je souris sous le rire de Lazare, je l'aime beaucoup le voir heureux ... son sourire est ravageur enfaite ! Je frissonne voulant l'embrassé encore et encore, déposé ma marque sur tout son corps mais soyons sage. Je me redresse à nouveau, prenant fermement son menton et je le regarde d'un air méchant.

- Garde ta main où elle est sinon le retour sera terrible, j'ai encore du mal à digérer cette épisode ... tu as de la chance de m'avoir planté chez toi sinon tu ne serais jamais sortie vivant !

Je plisse les yeux lâchant son menton, de toute façons maintenant je ne le lâche plus même si cela ne lui convient pas ! Il va devoir me supporté pendant des siècles. Je passe rapidement une main dans mes cheveux, Lazzie avait atteint un pic d'excitation et son pouls aussi jamais encore frolé, je n'ai encore rien fais ! Qu'est ce que sa sera quand je lui ferais la totale ? Non en sommes pas encore là, je préfère qu'il prenne son temps.

Son battement résonnent pratiquement dans toute la pièce, je souris écoutant son cœur avec une attention particulière, cette douce musique ... je rigole, prenant son visage entre mes mains tiède me penchant sur lui.

- Tu es adorable ...

Je l'embrasse doucement puis me décale le regardant viré au rouge. Je rigole ne bougeant plus, je passe une main dans ses cheveux tranquillement ... C'est bon il perd les pédales maintenant que je lui ai dis. J'avoue que le mot met venus naturellement car mes sentiments ont le temps de devenir claire mais j'avoue que au début de la semaine, c'était plus une attirance physique et avec l'envie d'une petite histoire sans grande gravité. Ne jamais vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué. Son retour me fit rire, son non sérieux me plaisait ! Ça détruit tout les stéréotype et les cliché qu'on peut faire ... c'est sa particularité en quelque sorte.

Je me masse doucement mon épaule droite en grimaçant, je l'écoute son ton a changé du tout au tout. Je m'assois sur le lit près de lui le regardant en souriant, je lui tapote la cuisse doucement.

- Ça fait depuis des mois que je n'ai pas touché à une âme mais ne t'inquiète pas pour moi, sa mettra le temps qu'il faut pour guérir ! Je ne suis pas du genre à me plaindre quand j'ai mal mais non tu ne te trompe pas.

Je ne veux pas qu'il pense à ca c'est mon problème mais j'avoue que le jour où je décide de reprendre toute ma force il y aura beaucoup de victime, je sais que Lazzie n'est pas adepte de ca donc il n'a vraiment pas besoin de s'en soucier. Je me relevé le tirant pour qu'il se lève aussi et je le pousse pour qu'il fasse le tour du lit pour aller se couché.

-Je pensais que tu voulais dormir ? On peut toujours discuté sous la couette à pars si tu as une meilleur idée ?

Je rigole m'affalant dans le lit en soupirant profondément, enfaite ca fait du bien de se mettre à l'horizontale. J'attends qu'il se couche pour remonté la couverture sur nous deux. Je respire profondément le cœur léger, je ferme les yeux en souriant mon esprit s'égarant quelque peu alors que j'ouvre à nouveau les yeux entendant ma berceuse tant adoré : le cœur de Lazare.

- Enfaite tu as fais quoi avec mon rouge à lèvres après tant de semaine ? C'est mon préféré en plus !

Je rigole les yeux légèrement brillant sous sa raillerie, se sourire qui ne quitte plus mes lèvres ca fait un bien fou comme un remontant ! Je lui lance un regard de biais assez pervers en laissant un sourire étiré mes lèvres et je lui souffle.

- Oh ! Ouiii ... j'adore te voir rougir au tant avec de simple mot, tes battements de cœur et ton corps qui s'électrifie sous mes doigts aussi. C'est assez grisant de savoir que je fais au tant d'effet.

Je ricane dans ma barbe passant vite une main sur mes bandages, Lazzie à des mains de fée. Je regarde le plafond d'un air absent J'avoue que dormir avec quelqu'un que tu aime donne une sensation bien plus étrange. Je le fixe aussi en souriant, je me met de côté caressant simplement le visage de Lazzie qui s'enfonce dans les coussins.

- J'espère le récupéré alors si tu as finis tes rites dessus ... Pourtant sa t'irait vraiment bien le maquillage, tu as un visage fin et beau.

Je ne m'étale pas plus sur le sujet mais je me fais la promesse de le maquillé un jour juste pour voir le résultat. Je souris regardant Lazzie tombé dans le sommeil rapidement, le suivant de près écoutant son cœur, ma tendre berceuse retrouvé.


J'ouvre légèrement les yeux regardant Lazare descendre, je soupir me roulant dans les couvertures et me rendormant légèrement. Ça fait un bien fou de dormir toute une nuit ! Je veux bien croire à un dieu pendant quelque seconde : Merci de m'avoir donné Lazzie. Je capture son coussin entre mes bras tout en battant de l'aile dans mon semi-sommeil. Aucun cauchemar, aucun sursaut de peur ... c'est tout simplement magique. Mon visage plongé dans son coussin, je respire profondément jusqu'à que mon esprit s'égare dans une sorte de vision.

Un homme qui marche dans la rue, la mienne en plus ... quelle coïncidence ! Ces pas résonnent d'un son brute, une aura noir qui le suit à la trace, je grimace absorbé dans mon rêve. Il s'arrête devant ma boutique ,je frissonne, sa main s'abat sur le bois de la porte. D'un coup son aura hante mon rêve et une voix à peine audible m'appelle. Je sursaute d'un coup comprenant que ce n'est pas un rêve, je saute du lit puis dévale les escaliers à la vitesse de la lumière. Je m'arrête devant la cuisine, personne, mais l'eau coule encore. Je tourne la tête le voyant enfin devant la porte, face à une aura.

- LAZARE !

Ma voix retentit et tout se déroule en une fraction de seconde. Je cours vers l'entré, tirant d'un coup Lazare pour l'éloigné de la porte, il était tout simplement figé et terrifié. Je le prend dans mes bras, plaquant son visage contre mon torse pour lui caché la vue. La porte tremble et s'ouvre d'un coup dans un grand fracas, je fronce les sourcils resserrant mon emprise sur Lazare me mettant le plus possible entre lui et cette porte. Un poing surgit de la lumière et je le bloque entre ma main sèchement, je me mords violemment la lèvre inférieur pour compensé le courant électrique qui me passe dans le bras.

Je regarde l'Akuma d'un air noir qui remballe vite son aura fasse à la mienne, je serre mes doigts sur le poing de l'Akuma sentant doucement chaque doigts craqués. Je serre les dents sentant une colère noire me prendre, mon regard a déjà changé. L'Akuma me regarde terrifier, il ne pensait pas me voir ici et bien perdu ! Mes doigts se crispent un peu plus sur son poing et je lui retourne le poignet sans une once d'hésitation dans les yeux. Il gémit de douleur, je tourne légèrement ma tête mes lèvres frôle les cheveux de Lazare qui avait toujours le visage caché. Je passe ma main dans ces cheveux d'un geste protecteur.

-Tu n'as rien ? D'un coup je sens une douleur vive me traversé le bras, ma main se resserre sur ces cheveux sans le vouloir étouffant un cri en serrant les dents. Putain ...

Je pousse Lazare loin de ma prise pour avoir les deux mains libres, ce salaud d'Akuma avait tout simplement plongé ces dents près de mon poignet là où était mes bandages. Mes blessures en plein jour était voyant, j'aurais du me méfier. J'ouvre de grand yeux, un regard de folie posé sur ce fumier. Je le tire vers moi vrillant complètement tout son bras et je l'attrape par la gorge plantant mes ongles dans son cou, assez pour qu'il saigne mais qui ne meurt pas. Je le plaque contre le mur d'un geste vif enfonçant un peu plus mes doigts dans sa chair. Ma mâchoire crispé.

- Qu'est ce que tu viens foutre ici Démon ?! Qui t'a envoyé ?!!

Je me maudits de ne pas être à 100% car je ne vais pas pouvoir le retenir indéfiniment, déjà là sous la pression quelques une de mes blessures se sont ouverte à nouveaux mais surtout les poignets, le sang noir coule lentement le long de mon bras tendu sur la gorge de L'Akuma. Je retiens son autre bras encore valide pour évité une autre attaque de sa part. Ce que j'avais en tête, c'est simplement de le tué après avoir eu ce que je voulais comme information. Je suis vraiment désolé pour Lazzie qui doit voir ca, je tourne légèrement le regard vers lui sans émotion.

Mes yeux noir braqué sur l'Akuma, il me disait quelque chose ... j'ai l'étrange impression de l'avoir déjà vu. J'appuie mon bras contre sa gorge l'écrasant un peu, mon bras me faisait souffrir mais ma folie à bien dépassé ma douleur physique. Mon sang coule le long de mon bras un peu plus à chaque fois que j'appuie la pression sur la gorge de l'autre.

Le géant crachote quelque chose, mes yeux s'écarquille ma prise se relâche sur son autre bras ou il en profita pour atteindre mon poignée à nouveau mais je ne le sentais plus. Je commence à ricané puis j'éclate dans un fou rire assez diabolique, je passe doucement ma langue sur mes lèvres. Mon aura dépasse bien les limites de la pièce.

- Oscar est déjà mort ! Il a osé me tenir tête et nous attaqués c'est une simple invitation pour ces funérailles qu'il m'envoie.

Ma voix agressive, je lui crache mes mots presque à la figure. Mon visage déformé par un certain appétit, mes siècles noirs revenant au galop. L'Akuma remue mais je ne lâche pas, je ne lâcherait plus tant qu'il ne sera pas mort. Il à tout simplement voulu s'en prendre à Lazare et ca je ne le pardonne à personne.

En parlant de lui, je sentais une aura grandir derrière moi et je tourne mon visage. Je regarde Lazare stupéfait mais en même temps assez froidement. Je serre ma prise sur la gorge de l'Akuma comprenant que Lazare veux lui aussi se vengé, il à le droit je ne peux rien redire. Je baisse mon aura laissant l'Akuma à sa porté.

Je détourne mon visage fermé, le regard vide pour éviter quelconque éclaboussure. Je n'ai jamais vu Lazare ainsi, je le regarde quelque seconde lui adressant un regard inquiet. Ce n'est pas dans sa nature et je voudrais tellement l'arrêter, je ne veux pas qu'il tombe dans se côté mais je ne peux rien faire. Je serre les dents tenant l'Akuma qui gesticule comme un beau diable sous ma main. Je regarde la scène avec une certaine fascination, un sourire de satisfaction se dessine sur mes lèvres. Je ferme les yeux sentant les gouttes de sang m'éclabousser puis les rouvre voyant l'Akuma avec un orbite vide. Je rigole, entendant ses supplications, je lèche le sang sur mes lèvres.

- J'ai marre d'entendre tes gémissements, ne t'inquiète pas Oscar va bientôt te rejoindre en enfer !

Je souris ouvrant largement mes yeux, je prépare ma main transperçant sa cage thoracique dans un craquement d'os. Je tiens son cœur entre mes doigts, il commence à crier et je resserre mon emprise sur son cœur, doucement tout doucement et je referme mes doigts d'un coup. Son cœur explose, il pousse un crie qui s'étrangle dans sa gorge et je retire mon bras avec le reste de son cœur qui tombe à terre comme son corps. Je lèche lentement mes doigts, mes yeux acier dansant dans un sentiment fou. Je vais mettre un moment avant de revenir moi même.

Puis je me retourne vers Lazzie le regard encore menaçant, je le regarde attentivement son aura avait disparus d'un coup, la mienne grouille encore de partout. Quelque chose n'allait pas ! Je viens près de lui, un bras recouvert du sang de l'autre et l'autre recouvert de mon sang. Il avait toujours l'œil dans sa main, je lui enlève le jetant plus loin. Je savais bien que c'était pas naturel pour lui mais je ne peux pas le touché avec mes mains couvert de sang

Je prend une grande respiration un frisson me parcours le dos j'avais un seul mot en tête : encore. Je suis bien naïf de croire que mon côté "démoniaque" va me laissé de côté pendant un moment, je voulais seulement aspiré l'âme de quelqu'un, puis encore d'un autre, un autre et encore ... Je serre mes doigts reculant de lui. Ma voix légèrement sec encore avec des intonations peu sympathique.

-Je sais très bien me maitrisé, c'est plutôt à toi que je devrais posé la question comment ça va ? Tu as fait quelque chose que tu n'as pas l'habitude, moi si et j'en ai conscience ... tu es sous le choc.

Je recule encore de toute façons je ne pouvais pas le touché, mes yeux froid le scrute et je suçote un de mes doigts recouvert de sang. Il se sent mal et je suis impuissant face à ca. Je ferme les yeux en soupirant, je me détourne entendant l'eau coulé, les battements irrégulier affolé du cœur de Lazare. Je suis vraiment désolé ... Mais avant le bain et tout , je vais déjà enlevé le corps ce qui stress Lazzie. Je prend un vieux drap dans un tiroir mettant le corps dessus et l'emballant.

Ce n'est pas très joyeux je l'avoue mais il faut le faire. Je m'évanouis dehors avec le corps revenant quelque minute après un peu plus calme, je passe vite fait ma langue sur mes lèvres comme recherchant le liquide. Je met vite fait un autre drap blanc sur le sang par terre, je ferais ca plus tard. Je soupir m'accroupissant devant Lazare qui ne va vraiment pas bien malheureusement je ne peux pas revenir à mon état normale dans un claquement de doigt. Je tend ma main vers son visage mais je m'arrête me souvenant que je suis encore couvert de sang de la tête au pied.

- Je vais prendre une douche ... glacé ... vite fait.

Je me relève engloutissant les quelques pas qui me sépare de la salle de bain ou je m'enferme en poussant un profond soupir. J'enlève mon jean's qui est bon pour la poubelle et mon boxer. Je vais sous la douche faisant coulé l'eau gelé sur tout mon corps tremblant d'excitation. L'envie de tuer se dissipe après de longue minute sous l'eau froide, adossé contre le mur les yeux fermés. L'eau s'écrase sur le carrelage en une marre noir et rouge entrainé dans le siphon.

D'un coup je me plis en deux serrant mon poignée blessé dans ma main, où l'autre Akuma m'avait à nouveau ouvert. J'étouffe un crie entre mes dents, je sens rien quand je suis dans ma folie mais le contre coup c'est que quand je redeviens claire c'est mon corps entier qui crie de douleur. Je serre les dents me laissant tombé le long du mur et je ne peux pas retenir un gémissement de douleur bien trop forte à présent. La sensation de la chaire à blanc, des tissus qui s'arrache et qui se reforme. Je serre les dents en rejetant ma tête en arrière fermant mes yeux avec force.

Lazare à du l'entendre mais la porte est fermé, de toute façons je ne veux pas qu'il intervient dans c'est moments. Je me relève en soufflant, la douleur s'étant radoucie. Je me sèche puis met ma serviette autour de mes reins, ma peau est à nouveau glacé et blanche. Je me regarde dans le miroir, les blessures de Bill toujours visible et je regarde avec amertume les 3 grandes griffures au milieu de mon torse. Je soupir passant mes doigts dessus puis j'ouvre la porte tombant nez à nez avec Lazzie. Je le regarde froidement en plissant les yeux mais je sens une goutte de sang descendre le long de mon index pour s'écraser par terre, la blessure c'est à nouveau ouverte !

- Je crois que je vais avoir besoin de bandage à nouveau ... dis-je d'un ton neutre.

Oui effectivement, je soupir m'asseyant lourdement sur le lit encore défais ma serviette me serrant la taille. Je passe rapidement une main sur mon visage comme pour me rattaché un peu plus à la réalité. Je laisse faire Lazare mes yeux suivant ces doigts frôlant mon poignet, mon visage ne trahis aucune sentiment même si je me sens redescendre sur terre peu à peu. Je lève mes yeux sur Lazzie, ma main non occupé vient s'aventurer sur sa joue, que je caresse doucement avec mon pouce. Ma voix se fait murmure.

- Pardonne moi. Excuse-moi ... d'être ce que je suis, je ne voulais pas mais cette colère n'est pas tourné vers toi.

Ma gorge se serre étrangement, enfaite ma folie agis comme une drogue sur moi et quand l'effet se dissipe, le remord et la tristesse me bouffe ... cette forme de violence est comme un refuge. Mais je me sens tellement mal à cause de lui, je ne voulais pas qu'il voit ce visage si effrayant. Mon pouce vient frôlé une nouvelle fois sa peau, un geste apaisant et j'enlève ma main le laissant continué ses soins. Mais à peine qu'il eu finis de serré mon bandage, j'avance mon visage près du sien le regardant d'un œil bien plus normale.

Mes mains viennent vers son pull que je lui enlève pour la deuxième fois, je le fixe intensément comme si je voulais desceller une quelconque émotion dans ces yeux. Je l'embrasse doucement l'emportant avec moi pour qu'il se couche. Je m'appuie sur mon coude, ma main remontant le long de son ventre pour venir s'échouer dans la sienne que je serre. Je me détache lui mordant doucement sa lèvre inférieure, mes yeux passe de ses lèvres à ses yeux.

- Si tu ne veux pas le faire dis le moi maintenant ... je ne voudrais pas t'obliger mais il faut que tu sache que je suis beaucoup moins tendre même si je ne pourrais jamais te faire de mal !

Il doit le savoir c'est simple, je sais que je peux être très violent et incontrôlable à cause de l'excitation de tué mais avec lui c'est autre chose c'est l'excitation de son corps, c'est l'envie de mordre chaque partie de son corps car je l'aime tellement et j'ai bien cru le perdre juste avant ... C'est étrange, encore jamais ressentie mais pourtant le sentiment qui m'anime à l'instant est puissant assez pour que je perde les pédales.

Je plonge sur son cou avec avidité, ma main descendant pour lui frôlé le bas du ventre promenant mes doigts le long de son pantalon comme impatient. Mes lèvres effleures sa peau si fine de sa gorge, mon souffle parcourant son épiderme déjà frissonnante. Je l'embrasse au creux de son épaule mes lèvres épouse parfaitement ces courbes. Je sais que s'il me donne le feu vert je ne vais plus pouvoir me retenir même si je ferais tout mon possible pour qu'il se sente bien. Ma main revient passant un doigt sur ses lèvres fines puis s'échappe dans ses cheveux, je le fixe me redressant un peu plus mordant légèrement ma lèvre inférieur. Je commence à perdre patience mon petit Lazzie ! Je scelle à nouveau ces lèvres dans un baiser bien plus osé faisant monté un peu la pression.