Write Sins Not Tragedies | Lazare |

Write Sins Not Tragedies
| Lazare |

Mes yeux macullés de paillète et maquillés d'une couleur bleue tirant sur du vert se pose sur les affiches du cinéma. Je les regarde un par un me baissant dessus pour mmieux les détaillées, je fais une grimace en plissant les yeux.

Je pousse d'un coup un crie aigue de joie prenant mon humain par la main et le tirant vers la salle. Saluant par la même occasion le propriétaire à qui jenvoie un baissé volant. Je rigole voyant son visage changé d'expression, comme un vieux slip tout mouillé il est devenue lisse de peur. Je passe le hall à grand pas mes talons claquant sur le sol, j'aime ce bruit et celui de mon panthalon en cuir aussi.

Je lance un regard gourmand vers l'homme que je tiens au bout de la main, l'imbécile il ne sait pas ce qui l'attend dans cette salle sombre ...J'ai déjà des frissons plein le dos. On rentre dans la salle, m'asseyant au milieu avec lui. A peine étions nous entrains de nous lancés des regards que le film commence, j'avais choisi une comédie musicale car j'aime la musique !

Alors qu'il était à peine commencé, je sens une main remonté le long de ma jambe que je tape légèrement.

- Non non pas encore mon coeur ... embrasse moi plutôt !

Je souris espièglement, lui jetant un regard disant tout. Approche, vient c'est cela et je l'embrasse brutalement et avec force. Je le sens se débattre mais abrégeant ces souffrances je lui tord le cou, j'observe ce corps sans vie à présent, fasciné. Je rigole passant mes doigts sur mes lèvres les éffleurants à peine puis replace mes cheveux.

Je me sens enfin revivre, je me lève d'un coup descendant les marches de la salle avec un déhanché et je commence à chanter. J'aime chanter et danser aussi ! Je me sens ivre de plaisir et de vie. Je m'amusais comme une petite folle d'un coup la porte claque et un inconnu fait son entré. Je me mort la lèvre inférieur la tête haute, je pose une de mes mains sur mes hanches regardant cette silhouette venir.

Oh oh bonjour petit homme, un sourire au coin se dessine sur mon visage de crai.

J'ouvre de grand yeux avec un sourire figé sur mes lèvres : Toc toc ... qui est-ce ? Je regarde la porte s'ouvrire puis se fermé d'un coup sec. Je pose mes mains sur mes hanches monté mais aucune personne ne se vit de la-haut. Bizarre j'ai bien vu une silhouette.

Le film défile imperturpable, les sièges rouge sont vide à pars mon ex jouet cassé à présent. Je monte doucement les marches cherchant la personne qui est rentré quand je vois d'un coup un homme se levé. Mes yeux s'ouvrent émerveillés, de la compagnie ! Miracle. Il avait pas l'air de m'avoir vue, tant mieux ... Il est vraiment tombé sur la mauvaise salle mais je ne suis pas le pire de notre espèce.

Je m'approche doucement approchant mes lèvres de son oreille, je répéte mot à mot les paroles de la jeune femme au creu de son oreille. Ma voix se fait velour et prend un ton d'invitation à la luxure, mon petit péché à vraie dire. Je sens des frissons me passé dans le dos et une excitation palpable.

je pose un doigt sur son menton l'obligeant à tourné sa tête vers moi, je suis proche de son visage que j'inspecte en détaille en me mordant les lèvres plutôt satisfait. Je plonge mes yeux dans les siens.

- Bonsoir ...

J'enlève mon doigt doucement appuyant ma prise avant de laché véritablement, mes yeux se fixent plus longtemps sur ces lèvre puis je me redresse m'écartant de lui. Un Akuma très charmant que voila, j'ai beaucoup de chance ce soir.

J'observe ces yeux noir de glace mais plus particulièrement ces joues rougis par mes paroles ... très intéressant ! D'un coup je quitte le sol, l'homme au cheveux long me soulève sans aucune mal. Je le fixe surpris, sentant ces bras fort agrippé mon chemisier aux multiples couleurs. Un sourire vient s'évanouir sur mes lèvres rouge vif comme le sang.

Il me dit des mots très peu gentil, offenssant ma délicate personne et il s'en va comme une bête emprisonné. Je me relève tapotant les épaules de mon chemisier. Je rigole soudainement remettant mes habits en place. On va bien s'amusé.

Le film continue encore et toujours son histoire, je n'aime pas les films de toute façons je me demande encore pourquoi je viens encore ici. Je marche le long d'une aller le bruit de mes talons étouffé par la moquette. Un boucher ... voila une perspective que je n'avais jamais pensé.

Je le rejoins avec un petit sourire, m'asseyant à côté de lui et croisant mes jambes.

-Parce que tu es un enfant de coeur peut-être ?

Je hausse un soucil, l'envie d'aller jeté un oeil sous ce pull me démange. Je le vois pianoté des doigts sur le siège, serait-il tendus ? Hum ... je peux facilement le détendre s'il le veut. Mais comme il a réagis un peu plutôt je ne risquerai pas d'aventuré ma main. J'aime faire cette effet d'angoisse et de peur.

- Je ne pensez pas les gens si coincé de notre temps ... et notre homme si farouche aurait-il un nom ?

Je fixe l'écran croisant mes doigts entre eux pour bien lui faire comprendre que je garde mes mains chez moi, malheureusement !

Que d'émotion en cette soirée, j'ai comme des envies de sauté partout ou de jouer une nouvelle fois avec quelqu'un. L'homme effarouché près de moi n'a pas l'air d'être à son aise, je ne savais pas que ma petite personne faisait un si grand effet auprès des miens. Je souris à son reproche.

- Peut-ètre bien ou peut-être pas ... Je devrais examiné cela un peu plus en profondeur.

Je hausse un sourcil en souriant un peu plus, j'aime le faire flippé. Il est si facile de le mettre mal a l'aise et de lui faire perdre les pédales. J'examine le moindre de ces gestes avec une intention particulière, je pince légèremet mes lèvres voyant mon ex peti ami en quelque sorte échoué au beau milieu de la salle. Je rigole me levant mon panthalon en cuir m'allant parfaitement, je m'assois sur le dossier du fauteil de la rangé d'en face et je tapotte légèrement la cuisse de notre homme farouche du bout de mes doigts.

-Je préfère les tué que les laissé souffrir ... Je n'ai jamais supporté de voir les gens finir ainsi mais c'est comme ca.

Ma voix s'atténue, je baisse les yeux et je passe mon bras gauche devant moi pour venir agrippé mon autre bras comme un semblant d'enlacement. Je n'ai jamais souhaiter être un Akuma, on ne ma pas donné le choix et je ne veux pas arrêter de vivre ! Alors que je parais fragil à ce moment, mes lèvres entre ouverte j'y passe délicatement mes doigts.

Je remet mes bras le long de mon corps stoppant ce moment de faiblesse, ce n'est pas ainsi que je vivre pas en maudissant mon existance. Je relève mes yeux coloré vers lui, souriant faiblement ... J'ai de la chance que la salle soit légèrement dans le noir.

-Lazare ... Un nom qui vous va a ravis.

Pour une fois mon visage était sérieux, mais je reviens vite à visage à l'imahe de mon esprit déséquilibré. Je le pointe du doigt me penchant légèrement vers lui, le fixant avec mes yeux noir.

- Et comment ca se fait que un homme comme vous êtes seul ?

Je tapotte du bout de mon index mon menton, va-t-il resté de marbre comme ca tout le long ?! C'est bien le premier que je croise ainsi mais il y a une première à tout ! Je fronce les sourcils quelque peu frustrés.

Alors que je voulais gardé ce contact je sens sa main serré la mienne non pas dans un enlacement amoureux, bien sur que non mais plutôt de colère. Il n'aimait vraiment pas cela ...
Mon yeux s'ouvre largement le fixant d'un air fou, je souris sentant mes doigts craqué sous sa poigne forte et je rigole rejettant ma tête légèrement en arrière. Mes cheveux en pétard suivent le mouvement.

Je ne pensais pas qu'il était de ce type mais cela ne me dérange pas. La violence ne fait qu'accentué le plaisir et l'excitation. Je reprend ma main mes doigts se replaçant dans un bruit sourd de craquement, je regarde cela avec une certaine fascination.

J'observe son visage que j'avais envie de caressé, je ne devais resté sage ... torture ! Son piercing à la lèvre n'est qu'une invitation de plus, une tentation et ces long cheveux ou je veux plongé ma main qu'il vient à peine de brisé. Je passe furtivement ma langue sur mes lèvres.

- Oui c'est très étonnant, un homme comme toi devrais avoir beaucoup de succés ! Du moins tu as beaucoup de succés au près de moi ...

Je ne vais pas le laché si facilement, j'avais qu'une envie c'est de l'enchainé à ce siège et de pouvoir enfin faire ce que je voulais !

J'avais suivis le film d'une oreille absente, je connaissais le film par coeur de toute façons. Lazare avait soudainement une expression très humaine, je le fixe d'un regard plutôt normale. J'allais lui dire quelque chose mais il partit comme une flèche, je le regarde s'en aller sans tenté quelque chose.

Je suis simplement surpris, je me mords violement ma lèvre inférieur en croisant doucement mes bras autour de moi en baissant les yeux. Je suis plutôt sensible dans le fond mais tout le monde croit l'inverse. Je reste un moment figé, les lèvres serrés puis je me décide à sortir à mon tour en grande enjambé. Je ne veux pas le laissé filé !

Alors que je pousse la lourde porte de mes bras frêles, mes yeux le cherchant dans le couloir sombre mais j'aperçois un Akuma penché sur lui et je peux imaginé que ce n'est rien de bien sympathique tout ca. Mes lèvres se tordent en entendant la tirade de l'autre taré, je sens une colère noir me monté ... une très mauvaise ce qui n'est pas bon signe pour celui qui va avoir à faire à moi.

Je me dirige droit vers ce taré qui ose posé ces sales pattes sur Lazare. D'un geste rapide je lui prend son avant bras entre mes doigt serrant de plus en plus, mes yeux brillant d'une flamme encore jamais vus. Je souris pris de follie en tordant son bras pour qu'il lache Lazare, je l'entend pleurniché pour ma plus grande satisfaction.

Je déplois une force insoupçonné vu mon gabrit, je pousse Lazare doucement pour le dégagé du mur et je casse le bras de l'autre enflure sans une once d'hésitation, un sourire sadique s'affichant sur mon visage de crai et je le met à terre.

- Qu'est ce que tu viens de dire petit joueur ?! Je le menace avec un de mes talons au niveau de sa jugulaire. Je tiens à t'éclairé, toi et tes petits copains que je suis le petit copain de Lazare ! Donc si ta petite cervelle marche encore cela veut dire que je tiens à lui et qu'il n'est pas seul !!

Je prononce les derniers mots avec force serrant mon talon contre son cou mon visage devenus dur.

- Essais encore de posé une fois tes mains sur lui et je te tue véritablement ! Tu ne seras pas le premier de ma longue liste enflure.

Je le pousse le faisant roulé à l'autre bout du couloir, le regard sombre et je me tourne vers Lazare la mine menacante encore. Je l'entraine dans la salle une nouvelle fois à l'abris des regards, le poussant doucement mais avec autorité. Je claque la porte avec force derrière nous et je fixe Lazare mettant mes mains sur mes hanches.

Je vois Lazare se laissé glissé le long d'un murs, il avait l'air plutôt chamboulé et moi dans une colère noir, indescriptible ! Je sens soudainement mon corps dans un battement fort, je met une main sur mon torse électrisé par une douleur. Ça faisait des siècles que je ne l'avais pas entendus, je baisse les yeux serrant ma main en un point puis remet mon bras le long de mon corps androgyne.

Je regarde Lazare de sa voix grognante qui devient une habitude, je souris légèrement me demandant quand même comment il me voit maintenant qu'il a vue ma vraie force ?
Je m'approche de lui bien plus calme que avant et me baisse me mettant à genoux devant lui pour être à sa hauteur.

- Je n'allais quand même pas te laissé te faire tué sans rien dire ?!

Je lui lance un regard sévère, je tend mes mains vers sa veste dégageant ces épaules et regarde les marques laissé par l'autre taré. Je fronce les sourcils mais sa allait, cela va prendre un peu de temps pour cicatrisé. Je relâche sa veste doucement, mes yeux sont fixé sur ces lèvres et je m'approche de son visage. Je lève mes yeux vers les siens, ma seule idée en tête était de l'embrassé. Je n'ai jamais eu un vrai baiser... jamais. Je souris.

- Cela veut dire simplement que je suis avec toi pour un temps. Je sais que de ton côté cela ne te réjouis pas donc on habitera ensemble pendant 1 semaine cela calmera les esprits en colère.

Je me décale mon sourire fané, je ne demande pas de l'amour car je vois bien que c'est à sens unique puis de toute façons je ne suis pas du genre à m'installer. Je me relève mais bizarrement je me sentais blessé par mes paroles.

- De toute façons ils savent que je collectionne les conquêtes donc voila ...

Je hausse les épaules en soupirant, des frissons me parcoure le corps et je me détourne de lui cachant mon visage de ces yeux. Je me sens si bizarre, ce n'est pas dans mes habitudes.

je m'assois sur un dossier de fauteille croisant mes jambes. Je regarde ma main qui a gardè une couleur bleue à certain endroit. Je grimace et la referme la cachant derrière mon dos. Il était fort mais faible à la fois du à quelque chose, je n'ai pas encore trouvé.

Je lève mes yeux vers lui, mon visage tel que celui d'une femme. Inconsiamment je passe mes doigts dans ma tignasse teinte en blond.

- J'aurais pu ... mais ce n'est pas le cas !

J'ai moi même un peu de mal à l'imaginer mais c'est ainsi, il va devoir me supporté. Je souris malicieusement, cela m'arrange bien car je vais pouvoir resté avec lui un moment. J'ai la nette impression d'être bien normale depuis un moment ! Sa voix s'élève, je souris le fixant.

- Je m'appelle Lestat. J'espère que ce séjour te plaira en ma compagnie.

Je me redresse cherchant ma veste plus bas près du mort, je regrette comme à chaque fois que je revois leur visage. Je me pince les lèvres enfilant ma veste en remontant, je regarde Lazare retrouvant mon peps de d'habitude. Je souris puis attrape sa main l'entrainnant vers la sortie.

- J'enménage chez toi mon coeur et dés aujourd'hui !