Love Like Winter | Lestat |

Dire que j'ai eu du mal à le faire sortir de chez lui ! Mais j'y suis arrivé enfin et pour en plus aller à la piscine ... Premier pas vers le succés. Mais pourquoi aussi tôt enfaite ? Il veut peut-ètre quand même évité les gens, le fait de grouillé dans l'eau avec plein de monde et faire bouchon me plait pas grandement aussi.

Les mains dans ma veste, je baille dans le col de mon pull la mine encore endormis et mes cheveux dressé sur ma tête était humide par le léger brouillard qui plongeait cette partie de la ville. Je sors le petit bout de papier de Lazare et regarde la rue, j'y étais presque. Je souris activement un peu plus mon pas.

Je sors une cigarette entre temps l'allumant et je tire longuement dessus. Ça fait du bien une petite. Je continus mon chemin dans les rues encore désert de Sanderward mon sac sur le dos. Je remarque enfin la piscine entouré d'un parking encore assez vide. J'étais à la moitié de ma cigarette puis je vois Lazare adossé contre la façade m'attendant.

J'étais à l'heure ! Je viens vers lui avec un sourire finissant ma cigarette que j'écrase sur un cendrier en passant. Je m'arrête en face de lui.

- Hé tu vois je ne me suis pas perdu ?!

Je rigole lui montrant le bout de papier que je glisse à nouveau dans ma poche, je lui fais un signe de la tête pour qu'on rentre même si la femme d'accueil est bien vilaine. Je pousse la porte accompagné de Lazare me dirigeant vers cette femme ... Euirk. Je reste près de Lazare regardant la femme d'un air étonné, comment on peut être aussi moche dans la vie ? J'ai des frissons dans le dos. Je pense que Lazare devrait parlé car sinon je risque de la faire pleuré.

Je soupir complètement dans les nuages encore, c'est pas à mon habitude de me levé si tôt. Je me sens à côté de la plaque c'est dingue et Lazare qui est en forme ... Ma place de dominant tremble en ce matin. Lazzie, ex-humain qui fricote avec un garou et me trompe avec un chat !

Mes yeux reste figé sur la dénommé "Samantha" qui mastique comme un veau son chewing-gum ... dégoutant ! Et le magazine people me disant que c'est une femme bien banale avec une tête horrible. Lazare s'impatiente de même que Samantha mais j'arrive pas à mettre de l'ordre das mes esprits, je n'ai qu'une envie c'est de rire devant sa tête. Mais Lazare prend la parole, je détourne légèrement mes yeux vers lui fermant ma bouche qui était légèrement ouverte depuis avant.

je laisse Lazare s'occuper de parlé avec l'autre dans sa bulle, jusqu'a que Samantha me jette un regard gourmand, je frissonne d'horreur puis d'un coup mon corps suit le mouvement de Lazzie qui me tire par le bras. Je redescend sur terre clignant des yeux. Mes talons compensés faisant un bruit sourd sur le carrelage où l'odeur du chlore envahis déjà l'endroit.

- Hein ? Je n'ai rien fais pour une fois puis franchement elle est moche ...qui voudrait d'elle ?

Je tire une grimace repensant à sa tête. Je me fais tiré par Lazare tout le long jusqu'à atteindre les cabines pour se changer. Je souris reprenant les rênes, j'entraine Lazare dans une cabine la fermant derrière moi et le plaque doucement contre la paroi. Ma main froide vient frôlé son visage, je le regarde avec un sourire et l'embrasse langoureusement pressant mon corps contre le sien et mettant une jambe entre les siennes. Je me détache en rigolant.

- Elle t'arrive même pas à la cheville ! Je lui dépose un autre baiser sur ces lèvres et lui fais un clin d'oeil. Si tu as besoin d'aide pour mettre ton maillot je suis à côté.

Je rigole puis ressors avant que de jeune enfant innocent arrive et nous vois ... moi une conscience ? Jamais ! Je vais dans la cabine d'à côté comme convenus silencieusement j'enlève mes habits encore dans mes pensées. Enfilant mon beau maillot vert Fluo avec des motifs noir, choisi tout particulièrement pour faire hurlé Lazare car je sais qu'il va avoir honte de moi ... il est tout le temps de toute façons !

Je sors avant lui me dirigeant vers les casiers pour mettre nos affaires, je baille encore à côté de la plaque. C'est dingue comme le matin j'ai du mal ! J'accroche mes habits et tout quand Lazare sort enfin. Je le regarde et siffle d'admiration.

- Monsieur Lazzie vous êtes le plus sexy des hommes que j'ai pu rencontré !

Je m'embête à tout bien rangé alors que Lazare envois tout dedans, mes lèvres se tordent alors que je glisse une pièce pour fermé en mettant la clef autour de mon poigniez. J'entends son pique, je baisse la tête abattu .. Aoutch ! Il peut être vraiment acide dans ces propos. Je relève le menton mettant mes deux mains sur mes hanches.

- Et le tiens tu la volé à un maternel ?!

Je lui lance un regard noir mettant ma serviette de bain qui à la couleur de mon maillot sur l'épaule. Il a de la chance qu'il a rougit à ma phrase sinon il aurait jamais vu la couleur de l'eau mais je l'aurais séquestré dans une cabine avec moi toute la journée le faisant jouir de mile plaisir !

Je le regarde ma pensée se reflétant dans mes prunelles, il a vraiment de la chance que je l'aime beaucoup ! Je souris légèrement glissant mon bras après le sien remplis de tatouage lui donnant un côté mauvais garçons que j'aime beaucoup. On prend une douche vite fais qui me réveille un peu, je passe mes mains dans mes cheveux pour les tirées en arrière.

Je regarde le peu de monde qui barbote dans l'eau, c'était des mères avec leur enfants qui étaient dans la pataugeoire alors que le grand bassin était vide. Alors que je retrouve mon énergie de d'habitude j'attends Lazare puis on prend deux transats au bord de l'eau en posant nos serviettes. Je souris regardant l'eau.

- Le dernier à l'eau est une poule mouillé !

Je cours vers le bassin comme un gosse arrivant au bord je saute comme un nageur pro ... enfaite j'adore l'eau ! Je fais quelque brassé sous l'eau avant de remonté au milieu du bassin. Je secoue la tête remettant mes cheveux en arrière et je regard Lazzie avec un sourire.

Est-ce qu'il étai de mauvais de poil aujourd'hui ? Ou c'est moi qui l'ennuie au tant ? J'avoue que c'est difficile de me supporté au quotidien et c'est bien la première fois que je vois au tant un homme. Il me couve un "raslebol" ? Je vous en supplie tout sauf ca ...

Je me retourne vers lui, je le regarde d'un œil inquiet. Je soupir haussant les épaules me retournant à nouveau et atteignant l'autre bord en face de lui. En plus j'aime l'eau mais j'ai l'impression que c'est pas son cas, pourquoi à-t-il accepté mon idée alors ?! Je plonge, m'appuie sur le mur pour faire la largeur de tout le bassin en apnée du moins en faisant semblant car l'air nous est pas vital.

Je remonte juste devant Lazare me tenant à ces genoux pour mieux resté à la surface et pour lui parlé. Je le regarde sévèrement.

- Pourquoi tu as accepté mon idée alors que tu sais que tu n'aime pas l'eau ?!

Je me déplace à côté puis remonte sur le bord à la force de mes bras. Je passe vite fais une main dans mes cheveux les tirant en arrière. Je lève les yeux vers le bassin d'en face ou les gamins jouent, je soupir me sentant bien con maintenant. Je tourne ma tête vers lui.

- Tu sais que tu me fais passer pour le pire des petit copains là ? Je ne sais même pas ce que tu n'aime pas.

Je souris tristement puis disparait à nouveau sous l'eau descendant du rebord n'attendant pas de réponse. Je reste sous l'eau fermant les yeux comptant les secondes que les humains peuvent resté sous l'eau sinon ca va faire louche. Depuis que je suis avec Lazare ma façons de pensé à décidément complètement changé, je me doute de plus en plus que le sentiment d'attirance physique s'accompagne d'un autre ... je remonte à la surface jetant un œil discret à Lazare.

Je reviens vers lui alors qu'il n'a pas bougé d'un millimètre, reposant mes mains sur ces genoux, je serre mes lèvres et garde mes yeux rivés sur mes mains.

- Excuse moi ... je m'emporte un peu trop ces temps si. On peut aller dans le jacuzzi ou on peut partir si tu veux ?

Je lève enfin mes yeux vers lui m'enfonçant un peu dans l'eau. C'est lui qui décide ...

Je fais la tête d'un gosse de 5ans qui boude, il a tout à fait raison c'est ca le problème mais j'avoue que entre nous deux c'est lui qui fait preuve de plus de maturité ou c'est la piscine qui me fait cette effet ?

Je soupir, la voix douce de lazare me siffle dans les oreilles agréablement, j'aime pas quand il prend se ton je ne peux que être d'accord avec lui et le regardé avec des yeux gourmand. Malheureusement je ne le connais depuis 1semaine et ce soir je m'en vais ... La semaine c'est déjà écoulé et je n'ai rien vu passé.

Quand il me fait la remarque sur mon maquillage, je passe mes doigts sur mes yeux ayant complètement oublié ce détaille.

- Il y a de quoi être triste en cette fin de semaine j'avoue.

Je me débarbouille avec l'eau puis m'approche de lui alors qu'il tente de rentré. Je souris appréciant son effort pour moi mais il n'avait pas besoin de faire au tant à vrai dire. Quand soudain des mioches comme Lazare les appelles viennent devant nous. Ils me regardent tous les yeux brillant ... Ouarg ! Alors qu'un brun à la peau mate qui ressemble étrangement à l'autre pecnot de la dernière fois mais en plus petit m'adresse la parole. Je le regarde froidement et j'allais rétorqué assez méchamment quand je vois le sourire amusé de Lazare. Ça me perdra ! Je soupir.

- Vous direz à vos mamans qu'elles sont très jolie et que je m'appelle Lestat. Quoi une démo ? Je les fixe en soupirant d'exaspération, je regarde Lazare ... Bon une seule fois alors.

Je me décale du rebord et plonge sous l'eau en fermant les yeux ... qu'est ce que je ferais pas pour Lazzie ! Franchement ! Je souris regardant le maillot de Lazzie ou j'ai une vu imprenable ah ah ! c'est pas si mal enfaite. Je remonte un peu plus tôt que avant, faisant semblant de prendre une grande bouffé d'air.

- Content ? Maintenant déguerpissez ... Hop oust !

Ils s'en vont en courant et en discutant assez fort complètement admiratif d'un type mort ... uh uh. Je soupir fermant les yeux et revenant vers Lazzie où je pose une main sur ca hanches le retenant un peu et je pose mon autre main sur le bord de la piscine.

- Ça va aller ?! Je le regarde un peu inquiet puis je souris. Tu as confiance en moi Lazzie ?

Je souris un peu plus aillant une idée derrière la tête ... je ne sais pas si ca va lui plaire mais on va tenté. Il n'était pas du tout rassuré c'est ca le problème et c'est pour cela que je lui demande s'il a confiance en moi. Je passe une main rapide sur mes cheveux les tirant en arrière une nouvelle fois mais des mèches viennent quand même retombé sur mon front.

Je regarde les gamins, j'avais en envie folle que un se rétame d'un coup sur le carrelage mouillé de la piscine et commence à pleuré toute les larmes de son corps en aillant une dent cassé ! Je souris sadiquement dans mon coin d'un coup en pensant à la scène ... hum je me retourne vers Lazare comme avec un faux air de "jen'airienpensédemal". Je passe une nouvelle fais ma main sur mes yeux encore légèrement noir, ca m'apprendra à oublié de me démaquillé et d'un coup je m'imagine Lazzie maquillé, ca pourrait faire quelque chose de bien ... Il a un visage très beau avec des courbes inoubliable.

Il passe sa langue sur son piercing ... Arg ! Malheureux ne fait pas ca devant moi, j'ai qu'une envie c'est de l'embrassé, tout mon corps était en manque. Mes yeux restent rivés sur ces lèvres alors que je m'approche de lui, les gloussement des mégère m'arrêta dans mon élan, je fronce les sourcils me mordant ma lèvre inférieur avec frustration. Lazare avait l'air aussi agacé que moi lançant un regard don je connaissais très peu la brillance à une brunette, fascinant comme regard. Dé fois je me demande ce que les gens me trouvent, pour que tout le monde me court après ?! Je ne suis pas particulièrement beau ni inoubliable comme certain et en plus je suis vieux ! Je soupir ennuyé par ma description mon sourcil tressautant agacé.

Je me rapproche de Lazare resserrant mon emprise pour mettre mon bras complètement autour de ses hanches. Nous étions que à quelques centimètres de l'un et de l'autre donnant à notre conversation quelque chose d'assez intime. Les mégères n'arrêtaient pas de gloussé, je pose mon front sur l'épaule de Lazare en soupirant ... Je n'aime pas être un spectacle de foire. Je suis excentrique mais bizarrement avec Lazare très peu, j'ai comme une envie de le protégé du regard des autres comme une perle hors de prix.

La voix susurrante et douce de Lazzie n'accentua que un peu plus mon envie de l'embrassé, de sentir sa peau courir sous mes lèvres et mes doigts. Je respire profondément son odeur qui lui colle à sa peau pâle et frissonnante, je vais mourir de frustration je crois bien ! " Je suppose " dit-il. Je souris sa réponse me suffisait. Je relève la tête lui susurrant presque au creux de son cou d'un ton plutôt langoureux.

- J'ai une énorme envie de t'embrassé mais avec les mégères à l'autre bout ce n'est pas possible ... alors j'ai pensé à aller sous l'eau ou nous pourrions être tranquille pendant un petit moment. Qu'est ce que tu en pense ?

Un mince sourire étire le coin de mes lèvres, je me fais doux comme un agneau pour une fois ... Je ne devrais pas car ce soir quand je devrais le quitté cela va être terrible ! Je tourne légèrement la tête à contre cœur regardant les mégères qui se rinçaient l'œil. Je grince des dents maudissant la piscine pour une fois. Ma main se serre autour des hanches de Lazare inconsciemment ... j'avais une envie de sifflé entre mes dents et d'hérissés mes poils comme un chat en colère mais ce n'est point possible pour moi. Je ne peux que leur envoyé un regard noir et attendre la réponse de Lazare mais pour son bien il devrait me donné une réponse assez vite car sinon les vestiaires nous verront un peu plus tôt que d'habitude ... Je me pince les lèvres me faisant revenir à la réalité, tout sauf cela ! Je ne veux pas contraindre Lazzie à le faire c'est un choix que lui seul peut faire et cela serait mieux pour nous deux de ne pas le faire surtout ce soir qui est est la fin de l'aventure, est-ce qu'il pense aussi que c'est le dernier jour qu'on se voit ?

Les mégères continuaient malgré tout, je soupir d'exaspération posant à nouveau mes yeux sur Lazzie qui avait l'air vraiment dans ces pensées ... Je le regarde, s'il ne veut pas ce n'est pas grave ! Je ne vais pas mourir pour cela. Il me lance un regard plongé dans un certain doute, je me décale un peu relâchant ma prise. Je ne pourrais jamais lui faire du mal ! C'est même impensable, je tue par plaisir j'avoue mais avant tout pour survivre car moi je l'aime ma vie même si elle est ainsi mais la semaine passé à ces côtés ma rappelé beaucoup de chose ...

Je sens ces doigts s'entremêle entre les miens, il me dit "Ok". Je souris gentiment accentua la prise entre nos doigts, il est stressé et il a peur ... je le vois bien.

- Laisse toi faire et tout ira bien, je ne lâcherais jamais ta main même sous l'eau. Je te remonterais à la surface après, tout doucement sans précipitation et si ca ne va vraiment pas serre moi la main et j'arrête tout mais dis toi toujours que je suis là et que tu n'es pas seul.

Je le regarde sérieusement, je lui dis cela pour qu'il se sente un peu plus sécurisé sous l'eau même si je ne sais pas d'où vient sa phobie c'est assez courageux de sa part. Je ne suis pas sentimentale ! Euirk mais je m'en voudrais si cela se passe mal ... Je deviens comme avant dans les années 1700 où je n'étais qu'un petit jeune homme innocent au amourette frivole avec de jeune femme. Enfin je pense que ma seule rencontre qui restera gravé sera celle si.

Je me décale du bord tenant la main de Lazare, j'attends qu'il se sent près pour qu'il lâche le rebord de l'autre main. Je l'encourage du regard sentant son emprise sur ma main se serré un peu sous le stresse. Il n'y avait plus de bruit du côté des mégères elles doivent être entrain de bavé littéralement sur ce que je suis entrain de faire avec Lazzie.

- T'inquiète pas Lazzie je reste avec toi ...

Une simple phrase pour l'encouragé ou une promesse éternel ? Un peu des deux je pense. Celui qui m'arrachera à la vie que je n'ai pas choisi sera celui que j'aimerais le plus au monde je crois bien, mais pour l'instant les seuls concurrent mon toujours laissé dans cette boite de nuit avec la promesse de revenir comme si j'étais une vulgaire catin. Mon regard avait changé alors que Lazare lâche doucement le bord et si c'était lui qui représenté mon avenir ?

Il faut que j'arrête de pensé à cela ! J'ai ma vie et lui la sienne, nous sommes pas du tout pareil il faut l'avouer. Je soupir me concentrant sur Lazare à présent, je lui fais un petit signe de tête et nous plongeons. Il se crispe, les bulles d'air remonte à la surface et je me laisse coulé l'emportant avec moi à bout de bras. Il se débrouille pas mal pour l'instant, je le tire jusqu'à moi doucement ne le quittant jamais des yeux ...

Il resserre son emprise sur ma main, aller courage Lazzie je sais que tu en est capable ! Je souris voyant ces cheveux noir ondulé dans l'eau, il me supplie du regard ... Arf. Je me redresse pour abrégé, c'est déjà formidable ce qu'il fait ! J'allais le tiré d'un coup quand c'est lui qui prend la décision de m'embrassé et même d'appuyé ce baiser.

Je relâche légèrement mon emprise sur sa main surpris, ma main libre passe dans ces cheveux noir puis il se décale. Je souris le poussant vers le haut pour qu'il atteigne la surface plus vite. Je remonte tranquillement alors que Lazzie s'est déjà raccroché au rebord comme un survivant du Titanic. Je rigole à sa phrase le rejoignant près du bord.

- J'avoue que sur ce coup là tu récolte toute la gloire ! Pour une première tu t'es bien débrouillé ...

Je souris n'entendant plus les mégères mais seulement le bruit de l'eau et les battements de cœur de Lazzie. Il embrasse comme un pélican, je rigole le regardant amusé. Je roule des yeux m'asseyant à ces côté et je tapote amicalement sur sa jambe.

-Tu n'as cas te rattrapé au Jacuzzi alors !

Je rigole me relevant, je lui offre ma mains pour l'aidé à se levé et on va dans la partie Jacuzzi où il manque plus que la coupe de champagne et mon bonheur sera totale. Je m'affale en poussant un profond soupir, je ferme les yeux passant une main rapide sur mon visage. Je les rouvres voyant de loin les mégères, elles sont encore là ?! Je tourne la tête vers Lazzie.

- N'empêche les mégères m'énervent bien ! J'ai l'impression d'être une bête de foire ... Tu sais que se soir on se sépare ?

Je le regarde appuyant un peu plus mon regard et du bout des doigts je remonte son bras pour m'amusé. Je me rapproche de lui pour ne plus avoir les mégères dans mon champ de vision, je pose ma tête sur son épaule fermant les yeux pour mieux gouté à ce moment, à la tranquillité ... J'ouvre soudainement les yeux me rappelant de quelque chose.

Je le regarde se débrouiller avec la gamine, il peut-être très effrayant dé fois ! Je souris après ce qu'il dit à la gamine, il était mort de trouille surtout ... si ca lui a plu tant mieux. Je passe rapidement ma langue sur mes lèvres. Quand je vois ou la gamine rapporte je comprend tout, c'est de famille chez eux.

Je détourne mes yeux en soupirant, s'il s'en rappelle tant mieux donc je ne continuerais pas sur ce sujet sensible. Pour une fois que j'étais bien contre son épaule il me signale que j'ai un message, je grogne dans ma barbe me levant pour aller vers les transats à deux pas. Je soulève ma serviette prenant mon portable, j'écoute d'une oreille ce que la petite dit à Lazzie, elle le drague et tout ! Ttss si petit et on reconnait déjà les bonne choses ... hum c'est bien. Je rigole entendant la réplique de Lazare.

Puis je porte mon attention au message que je lis, les phrase défilent et mon visage devient de plus en plus blanc.

<< Lestat je voulais te signaler que ton créateur est arrivé en ville il y a voila quelque jour. Il s'est exprès déplacé de Paris pour te revoir !! Ne lui fait pas plus honte et ramène toi le plus vite possible.>>

Je sens ma gorge me serré étrangement de peur avec une boule au ventre, je laisse glissé mon portable entre mes doigts les yeux grand ouvert. Je serre mes dents et mes muscles, étrangement je sentais mes genoux près à vaciller sous mon corps. Je regarde du coin de l'œil Lazare et la petite. Je ferme les yeux mes bras tombant le long de mon corps résigné. Qu'est ce qu'il foutait ici ce vieux ?! Pourquoi maintenant ?

Mes mains se crispent, je dois aller aux vestiaires ... je dois y aller avant que je m'écroule devant tout le monde et plus particulièrement devant Lazare. Je me détourne et marche à longue enjambé vers les douches rebroussant chemin passant devant Lazare que je ne regarde même pas. Mon visage figé et mes yeux braqué simplement par terre.

J'arrive dans les vestiaires le souffle court comme si un poids m'écrasait, comme si des griffes se resserrait autour de mon abdomen. L'air me paraissait à présent si précieuse ! Je m'enfonce dans une cabine claquant la porte en oubliant de fermé, je m'adosse contre le paroi me laissant glissé à terre. Je ramène mes jambes contre moi plongeant mon visage dans mes bras, quelque larmes dévale le long de mes joues laissant des tracées noir sur mon visage pale. Mes mains crispé dans mes cheveux, l'air me paraissait si froid que mon corps en tremble. J'étais sous le choc. Je frappe soudainement la paroi en plastique faisant pratiquement un troue et mes larmes redoublent.. Mon dieu qu'est ce qu'il va me faire ?

Pourquoi William est venus ici en personne ?! Qu'est ce qui cherchait ? Je ferme les yeux plongeant un peu plus mon visage. Je déteste rien d'autre le plus au monde que cet Akuma, créateur ou pas ... il s'est joué de moi me volant ma seule espérance moi qui n'est aucune identité à pars un prénom.

C'était une histoire d'un soir, alors que je jouais au piano comme d'habitude dans le salon de l'auberge ... il était là au fond de la salle m'observant d'un œil dé plus intéressé. A la fin de la soirée il m'offrait un vers en tout amitié, alors que nous faisons connaissance tout les deux : il paraissait un homme fort charmant et en plus riche qui voulait d'un homme quelconque ce qui veut dire moi. Mon excentrisme compensait alors mon identité presque inexistante. Je n'ai pas connus ma mère, ni mon père et j'ai étais élevé par des filles de joie.

On montait dans ma chambre ... J'ouvre les yeux serrant mes poings, je ne me rappelle plus de rien, seulement d'un petit matin où j'ai su que tout avait basculé et c'est là que Oscar ma recueille m'apprenant ce qu'était être un Akuma. Le seul moyen que j'avais trouvé pour persisté à vivre à ce moment était de travaillé pour Oscar gardant mon excentrisme devenus connus dans le milieu mais je n'ai jamais pensé que ce vieux débris revienne ici !!

J'entends les bruits de pas étouffé de Lazare, je ne veux pas qu'il me voit ainsi ! La porte vibre légèrement en s'ouvrant, je me crispe un peu plus ne levant pas mon visage. Il m'annonce qu'il me cherche, je ne réagis pas ... qu'est ce qu'il voulait que je lui dise ? Youpi il me cherche je vais aller le voir en lui offrant des chocolats ! Non ca ne marche pas comme ca pas avec ce vieux débris qui est portant plus jeune que moi en apparence physique. Bien sur que si je vais baisse les bras, il n'avait pas l'air d'être au courant de toute la cruauté que Les Anciens étaient capable et je ne veux pas qu'il s'empreigne à lui. Je lui réponde entre mes dents ne levant pas mes yeux noir.

- Je ne peux rien faire ... RIEN !

Ma voix était devenus d'un coup dur et froide, je sens les lignes mon visage tirées et l'étrange impression de me vider de mon énergie. Qu'est ce que je vais faire s'il apprend que je suis avec Lazare depuis 1 semaine ? Il va le savoir de toute façons tout les Akumas sont au courant ... Je me mord violemment ma lèvre inférieur sentant le gout amer du liquide rouge sombre. Quelques gouttes tombent par terre et d'autre continus leurs coursent sur mon torse. Pourquoi Lazare ne s'en va pas ?! Il n'est pas concerné par cela, la seule chose qui peut récolté c'est des problèmes par ma faute.

Mes pensées se bousculent dans ma tête, tout n'allait pas ! Rien n'allait ... moi qui commençait à revivre. Je sentais ce que Lazare voulait faire, je le sentais comme s'il était devenus une part de moi et je me laisse faire sentant son coup en premier lieux et vite remplacé par une volute noir assez reposante pour l'instant. Mon corps est à bout, mon esprit aussi je me sens simplement brisé de partout.

Mais je lui en veux, je lui en veux terriblement ... il va me laissé chez lui partant comme un voleur. Normalement c'est moi qui le fait, c'est moi qui laisse ma place vide le matin, comment pouvait-il prendre ma place ? J'ai était élevé ainsi, éduqué, manipulé pour être seulement un "bon coup".

Mon corps est lourd plongé dans un cauchemar tumultueux, un cauchemar revenus de loin. Cette frayeur de rentré, de passé une nuit avec lui est revenus comme s'il m'avait jamais quitté. Lazare je te hais tout simplement, comment peux-tu me laissé tombé ? Tu es comme tout les autres que de promesse éternel ... mais le deal était d'une semaine pourquoi je m'en souviens jamais ? Je voudrais réagir, m'arraché de ton emprise sur mon corps et courir droit vers la mort!

J'entends des sons lointain pas assez claire pour comprendre mais ma peau frissonne avec douleur, une voix que je connais trop bien .... que j'ai fuis depuis 3 siècle maintenant. Je ne veux pas retombé entre ces mains. Je sens mon cœur volé en éclat, mon corps en entier me plongeant dans d'affreuse vision. Alors que j'entends le bruit d'une porte, celle de Lazare. Il ma porté de la piscine jusqu'à chez lui ce qui nous rapproche de la fin ... Je te hais !

Je sens ces doigts me frôlé le visage et je me réveille subitement me relevant d'un coup. Mes yeux regarde la pièce vide ... trop vide ! Je serre les dents m'asseyant au bord du lit en me tenant la tête, j'avais mal à la tête et les larmes continuais leur descente funèbre. Je prend le bout de papier du bout des doigts lisant le mot de Lazare que je met en boule entre mes doigts et le jette loin avec force. Pourquoi ca se passe ainsi ?! Je ne voulais pas m'accrocher à toi, pas m'accrocher à de vain espoir !

Je me lève chancelant un peu, cherchant mes affaires avec amertume sans un mot ... il est bien partie comme un voleur mais il ne doit pas être loin de la maison ! J'allais descendre les marches quand le bout de papier se cogne à ma bottine, je me baisse le prenant et le fourrant dans ma poche vite fait. Je descend les marches une à une lentement quand ma peau frissonne désagréablement ... il était ici. Je prend une profonde inspiration et ouvre la porte. J'avais vu juste Bill se tiens juste au milieu de l'allée. Je le regarde d'une froideur sans égale, lui me fixe de son sourire moqueur habituel ... je replonge en enfer ! Sa voix mielleuse désagréable arrive à mes oreilles. Ma gorge se serre et mes mains se resserre sur la poignet de mon sac où mes jointures blanchisses sous la pression.

- Je t'ai enfin retrouvé L-e-s-t-a-t !

Il s'avance d'un coup son visage avait soudainement changé, mon corps se crispe d'un coup et je sens sa claque frappé mon visage de plein fouet. Je me rattrape contre la porte où quelques gouttes s'était échoué, mes yeux se brouillent de cette peur et je serre les dents. Il m'entraine avec lui refermant sa main sur mon avant main.

- Tu viens avec moi contrains et forcé ! Je ne veux rien savoir, oublie le. On s'arrête, me regardant droit dans les yeux avec son air effrayant. Sinon je me ferais une joie de le torturé sous tes yeux jusqu'à que tu me supplie à genoux et que tu me prête allégeance comme il se doit BATARD !

Les mots claque violemment dans l'air, mes jambes sont prêtent à céder et je voudrais tant me réfugier dans tes bras Lazare. Je sens que tu n'es pas loin, tu me regarde mais je ne peux plus rien faire à par t'oublié sinon Bill s'en prendra à toi et je ne veux en aucun cas que tu sois mêlé à lui. C'est mon problème et sache te tenir à ta place pour ton bien !