Enzo Oliver | Gentil pervers pour combler vos rêves.

Nom et prénom .
Oliver Enzo.

Âge .
16 ans.

Sexe .
Garçon.

Parents et origine .
Chris et Marie Oliver. Deux braves gens qu'il aura longtemps embêtés.



Histoire .
Plic, ploc, plic… Les gouttes d’eau s’abattaient encore et encore sur les carreaux transparent de sa chambre. S’extirpent lentement des limbes de son sommeil, le jeune homme écarta les draps blancs, encore immaculés, qui recouvraient son torse nu. Il roula sur son flanc et attrapa ses lunettes sur le bord de sa table de nuit où était poser le réveille qui, tend de fois déjà, l’avait arraché brutalement à ses rêves avec sa sonnerie aigue et désagréable à souhait. Posant ses Ray-Ban Wayfarer sur son nez, il posa ses pieds sur le parquet. Il se leva, s’étirant au passant en baillant à gorge déployée et se dirigea vers la chambre de ses parents. Marchant sur la pointe des pieds, il plaqua son oreille contre la porte. Des ronflements ténus lui parvinrent, signe du sommeil profond de ses parents. Tant mieux ! Retournant dans sa chambre, il couru à son armoire, empoignant des vêtements au hasard, regardant néanmoins ce qu’il prenait. Il en jeta la plus part sur son lit mais garda un slim bleu marine et un sweat rouge qu’il se dépêcha d’enfiler. Se penchant, il chercha sa ceinture au imprimé damier blanc et noir qu’il avait du perdre sous son lit. Tendant le bras, il tâtonna le sol et tomba sur ses basquets Victoria bleu turquoise. Haussant un sourcil il les mis à côté de lui retournant à la recherche de la ceinture. Trouvant ce qu’il chercher, il se redressa, tapant son crâne contre le sommier du lit. Lâchant un beau et poétique « putain » il s’assit sur le matelas, enfila les basquet en fessant rapidement les lacets. Soulevant le sweat, en dévoilant le bas de son torse au abdos légèrement dessiner, il passa la ceinture autour du jean et passa devant le petit miroir accroché au mur. Passant un petit coup de brosse sur sa mèche qui lui barrait un œil et crêpant légèrement ses cheveux, il se concentrait sur les bruits qui venaient de l’extérieur à la recherche de petits de cailloux se fracassant sur les carreaux. Rien. Elle ne devait pas encore être la. Il partit rassembler les affaires qui trônaient sur son lit dans un sac et ensuite, il rédigea avec une écriture lisible un mot adressé à ses parents. Un mot d’au revoir, voir même d’adieu. Brusquement, il entendit le bruit qu’il traquait. Il prit le mot, un pincement au cœur et l’accrocha à la porte de la chambre. Saisissant son sac, il descendit sans bruit les escaliers tout en vérifiant qu’il n’avait pas oublier son portable. Arrivé devant la porte d’entré, il lâcha un petit soupir triste. Il ouvrit la porte et posa ses clés sur la plaque de marbre qui était posait au dessus des escaliers et sortit. Il vit la mine déconfite de son amie et pour la rassurer, il lui offrit un petit sourire qui n’avait pas lieu d’être, vu l’expression vide qui habitait ses traits fins.

Les deux jeunes gens partirent de la rue jusqu'à la gare, qui ce trouvait à vingt minutes de marche d’ici, main dans la main. La fille cachait son visage avec ses longs cheveux châtains. Enzo resserra sa prise sur sa main en un geste de réconfort et sentit les doigt froid de son amie en fairent autant. Le bâtiment commencer à pointer le bout de son nez. Le jeune homme accéléra le pas, trainant prèsque son amie derrière lui. La porte en verre coulissante s’ouvrit, laissant entrer les deux adolescents. Enzo sortit de sa veste en similicuir un porte-feuille qu'il débarrassa de deux billets de train. Les mettant entre ses lèvres rosé, il rangea le porte feuille et continua d’avancer vers les quais, écoutant la voix qui parler dans les haut-parleurs, ne voulant surtout pas rater son train. Une fois au chaud, la jeune femme avançait plus rapidement, suivant l’allure du garçon dont elle avait gardé la main prisonnière. Ils déboulèrent sur un des nombreux quais de la gare. Jetant un œil aux billets, le garçon lâcha la main de la fille et guettait l’appel des passagers qui ne ce fit d’ailleurs pas attendre. Le train arriva quelques minutes après, sans commettre de retard. Les passagers entrèrent, en quête de la meilleur place du TER.

« Une chambre, s’il vous plais, lâcha-t-il distraitement d’un timbre doux. »
La femme dévisagea les deux adolescents d’un mine douteuse, s’attendent des dérangement nocturne sans doute. Souriant à cette pensée, Enzo eu un sourire lorsqu’il tendit à l’hôtesse les billet qu’il avait prit chez ses parents. La femme mit la clé sur la paume de sa main. Les deux amis partirent, sans demander leur reste, à la recherche de leur chambre. Et lorsqu’ils la trouvèrent, ils ne furent pas surprit mais gênés de voir qu’un seul lit trôné au milieu de la pièce. Une jolie couleur rouge monter au joue de la fille, et pour la détendre, Enzo annonça qu’il prendrait le canapé. Chacun installa ses quartiers et Paula fut la première à partir se doucher. Au bout de dix minutes à regarder toutes les chaînes, le jeune homme commença rapidement à s’ennuyer. Il se leva de son fauteuil et entra à pas de loup dans la salle de bain. Prenant soin de ne pas regarder la douche, il prit les vêtement et puis sortit vite fait. Cinq minutes plus tard, il entendit des jurons. Il ne put s’empêcher de rire. La porte s’ouvrit sur une ravissante adolescente au beau décoller qu’offrait la serviette, qui d’ailleurs, était un peu juste pour tout cacher.
« P’tint, t’es chiant, Enzo, sérieux ! »
Elle s’approcha du lit où elle attrapa ses affaires et repartit vers la salle de bain.
« Tu sais, ta serviette était un peu courte, Paula, répliqua-t-il en riant. »
Un doigt d’honneur sortit de l’entrebâillement de la porte. Le soir, la température avait chuter et les radiateurs ne chauffer plus grand chose. Ramenant ses genoux à son torse pour essayer de ce réchauffer, Enzo lança un regard à son amie, qui elle, avait une bonne couverture bien chaude. Il sauta du canapé, attrapa la couette et tira dessus. Paula se réveilla en sursaut.
« Non ! »
« Si ! »
« Fermait là espèces de dégueulaces, y a des gosses qui dorment ! cria un type en tambourinant sur le mur. »
Tout en rigolant, les deux adolescent parvinrent à un partage de la couverture.

Les mois on passés, avec leur lot de bêtise et d’ânerie. Il en serait peut-être de même aujourd’hui, si Enzo n’avait pas trouvé un mot étrange sur la table de nuit de la chambre d’hôtel. Lorsqu’il était rentré, Paula n’était plus là, juste un petit mot, qui annonçait qu’elle n’en pouvais plus et qu’elle rentrait chez ses parents, à Sanderward. Ainsi, voici donc comment il se retrouva à trainer sur le banc qui entouré l’ancien théâtre de la ville, à ce demander comme il allait faire pour expliquer à ses parents, qu’il s’était enfuit avec sa meilleure amie, qu’il vivait dans une chambre d’hôtel et ça, sans se faire assassiner par sa mère et son père.

Caractère .
Il est amusant de se décrire lorsque l'on n'a aucunes idées de sa personne.
Enzo est le genre de garçon que l'ont n'oublie. Gentil, cieur, du genre à mettre les deux pieds dans le plat. Il est aussi très maladroit, ne contrôlant pas très bien toutes les extrémité de son corps (rien de pervers là dedans n___n). Toujours la bouche ouverte à en gober des mouches, il n'est pas du genre à se laisser marcher sur les pieds, et si quelque chose le gêne, même une personne, il n'a aucun mal à aller ce plaindre, toujours avec une pointe d'humour qui des fois, n'est pas très bien vu. Mais comme tout les garçon qui sont plein dans l'âge... idiot (?) c'est aussi un petit pervers, pas doué avec les filles et plutôt du genre à aimer les cours d'SVT de quatrième si vous voyer ce que je veux dire. Mais cet surtout en grand flemmard, et lorsqu'il ne veut pas faire quelque chose, y a pas grand chose à faire.

Physique .
Il est plutôt petit - autour des 1 mètre 75, voir moins - et fin, ce qui lui faut beaucoup de commentaire désobligeant de certain garçons. Torse-nu, il n'est pas moche à regard, même si ce n'est pas un grand musclor. Sa chevelure possède une belle couleur châtaine, et ses yeux sont dans les tons bleu ciel. Niveau vestimentaire, il aime beaucoup les couleurs flashie, telque le bleu turquoise, le jaune le rouge et j'en passe. Sinon, il a aussi des petit problème de vue, ce qui explique les Ray-Ban qu'il à toujours sur le nez.



Ton petit puf .
Capitaine, le Capitaine.

Comment trouves-tu ce forum ?
Le design' est pas mal, mais je le trouve trop sombre. Mais ce n'est qu'une histoire de goût.

D'autre personnage ici ?
On se connait, on se connait...

Comment as-tu connu Protect Wolf ?
Par des admines folle s'en doute ?

Autre ?
Si vous avez besoin d'aide niveau administratif, design', ect, n'hésiter pas à sonnez à ma porte d'entrée !

Je suis reconnue *^*
Coucou Woon !

POIPOIIIIII !!
Je suis contente de te voir Et puis, je vais enfin pouvoir jouer mon petit Enzo dans une ambiance que j'aime ^^

Mais tu es aimé ! Sinon, je me dépêche, je déjà commencer l'histoire, et si toi tu as fais vite pour écrire son hsitoire //PAN//
De toute façon, Didi et Sisis son folle, alors * part se cacher en mission commando *
Oui, j'ai lu le poste sur Horse-Wild et pour une fois que tu es la méchante OwO

J'irais lire tes poste pour juger de ça, même si je pense que jouer des méchant t'irais bien ^^
Je me dépêche mon Général !
Le seul truc que je n'aime pas ici, c'est que le blockquote fais un truc tout chelou :,(

BN <3
Oui, nous sommes méchante et nous ne t'avons pas invitée *^*
Mais fais attention, si tu l'appelle Pharaon, elle se couronner impératrice de PW !
Sinon, moi je vois la signature de tout le monde sauf la tienne, on est à égalité x)

(Par la PUB, mais ça revient au même vu que c'est Didi qui la posté).

EDIT . Je vois ta signature aussi. Et oui, I love Alex <3

Mais nan, boude pas adminette. Adminette, je vais t'appeller comme ça maintenant OwO
Oui, j'ai éditer mon poste aussi.
Ha non, on ne mange pas ! D'ailleur je suis contente que personne n'ai pensé à prendre Alex comme avatar, sinon j'aurais mordus.

Tant mieux, mon petit humain veut vivre !
Vous pouvez pas être impératrice, car c'est moi ! Je fais comme Napoléon I, je me courrone toute seule * met la courrone sur sa tête *