When you face it the first time you are afraid … just the just time …
Sam, regardait autour de lui d'un air nerveux, Il avait l'impression que tout le monde autour de lui pouvait voir ce qu'il était. Pourtant personne ne pouvait le voir et personne ne savait même ce qu'était un loup-garou à moins d'en être un …. Sam avait découvert la vérité à propos de lui que depuis très peu de temps. Quand il avait repris forme humaine le lendemain de sa transformation , l'homme était retourné chez lui à pied et s'était enfermé dans son appartement.
L'homme avait tout d'abord eux comme réaction de tenter de ce tué … il avait attraper un couteau dans la cuisine et s'était installé dans sa salle de bain. Il avait commencé à lacéré son bras jusqu'à ce que la douleur ne le paralyse et qu'il ne prenne une serviette qu'il enroula autour de son bras pour calmer les flots de sang. Il avait maintenant le bras pleins de cicatrices fraîches .. Charlyne s'inquièterait encore et Sam détestait la voir inquiète , Il couvrit donc son bras avec une bande de gase blanche .Il n,enfila pas de chandail restant torse nu et une envie soudaine envie de balade lui pris soudain … il enfila donc un chandail à contre-coeur et attrappa son avant de quitté sa demeure vers un lieu dont il était habitué … Le café Brumeux. Malgré l'odeur de fumé l'endroit était serein et la serveuse permettait aux yeux de Sam une petite distraction de Charlyne ….
L'homme alla s'assoir au comptoir en faisant un signe de la main à la propriétaire qui lui adressa un sourire en claquant des doigts avant de faire un café à l'homme Elle lui amena rapidement et l'homme en but une gorgé en silence. Il écoutait les bruits et mouvement autours de lui .. tout lui semblait tellement plus clairs … Un bruit lui venut .. un bruit qui se rapprochait de lui ...
Seth
Messages : 219 Age : 26 Puf : Chunsa. Célibataire ? : Non. Espèce ? : Originel | Ex-Humain.
Le revolver est pointé sur ton cœur mais tu ne réagis pas, Car si la balle qui part fait du bruit, ce qu’elle vise n’en fais pas.
La pluie avait décidé de le noyer, bien certainement. Sinon, comment expliquer l’averse qui ne semblait vouloir accablé que lui, les gouttes mordantes infiltrant tout, jusqu’à lui semblait il l’intérieur de son être ? Lorsqu’il était jeune, Luka avait été persuadé que les larmes étaient provoquées par de la pluie tombant dans l’œil. Aussi, dès lors que les nuages commençaient à crachoter, il fermait avec force les paupières, souhaitant ne plus jamais voir de larmes sur ses joues. Un jour, il avait parlé de cet efficace moyen à sa mère. Elle avait doucement sourit, et avait dit qu’il était un petit garçon très intelligent. Mais elle avait continué à pleurer. Et lui aussi.
Il avait eu beaucoup de fausses perceptions, de ces idées farfelues qui vous viennent en bas âge, et que l’on découvre amèrement fausses. Un jour, il s’était mis dans l’idée que les anges tombaient du ciel. A l’époque, la pudeur de sa mère lui avait interdit de lui révéler l’existence de démon. Aussi, lorsqu’elle lui demandait de prier son Dieu, ne lui parlait elle que des Anges célestes, de ces magnifiques créatures sans sexe, au sourire doux, aussi immaculées que des colombes.
Il s’était mis à chercher des Anges perdus un peu partout. Chaque fois qu’il voyait quelqu’un qui semblait convenir à l’impression qu’il avait d’un Ange, il s’y agrippait, exigeant des informations sur le Paradis. Mais jamais ses prises ne voulaient lui révéler les secrets célestes.
Un soupir lui échappa. A présent qu’il n’était plus homme, à quoi servait son baptême ? Dieu ne maudissait il pas ceux qui étaient entrés dans son troupeau de moutons blancs et en ressortaient noirs ? Et Lui, existait il seulement ? Ce nom, cette image, ce symbole ? La présence de Démon semblait le confirmer. Mais il refusait d’y croire.
Sa douloureuse désillusion se fit un jour qu’il marchait dans la Rue. Il était alors occupé à mordre à pleines dents dans une pâtisserie qu’il avait eu gratuitement de la boulangère pour son labeur ( il venait seul chercher le pain en surmontant son effroyable timidité ), et entonnait entre deux bouchées l’air d’une vieille chanson populaire dont il bourdonnait les paroles, faute de les connaître.
Son regard errait sur la rue. Il se posa sur un petit amas informe et blanc, fixe, mais qui semblait doucement pousser par le vent vers le caniveau. Il s’était approché, avec cette curiosité de l’enfant. Ce qu’il avait vu lui avait fait lâcher un cri, alors qu’il reculait précipitamment.
Une colombe morte, couverte de sang. Peut être était ce ce jour là qu’il avait compris que le Monde n’était pas fait de beauté et de pureté. Deux jours après, sa mère renversait une petite fille en voiture.
Il se frotta les mains les unes contre les autres, espérant se réchauffer quelque peu. Mais, même s’il s’était situé au Sahara, il se serait senti toujours aussi froid et vide, comme un grand gouffre d’émotions contradictoires.
Luka tourna la tête vers le café, une moue maussade aux lèvres. Contemplant l’intérieur bondé et enfumé, il resta quelques instants immobiles, avant de pousser la porte, accueilli par une forte odeur de tabac et d’alcool. Plissant les yeux, il se dirigea à l’aveuglette vers le comptoir, rencontrant le regard bleu de la serveuse, qui sembla le reconnaître et lui adressa un sourire tout en dents. Grimaçant, l’Akuma tourna la tête, constatant que toutes les tables étaient prises et que la seule place libre était…
L’ex humain eut un mouvement de recul, dévisageant l’aura blanche qui s’échappait du corps de l’homme. Non seulement c’était un Garou, mais en plus il était construit comme une armoire à glace !
Le démon déglutit. Il serait plutôt malvenu de s’en aller maintenant, qui plus est le soleil n’était pas vraiment au rendez vous dehors. Avalant difficilement sa salive, il avança donc, s’asseyant furtivement aux côtés de l’autre homme en entortillant ses doigts.
Fermant les yeux, l'ex humain tenta de reprendre sa respiration qu'il avait coupé avant, tout en farfouillant dans ses cheveux noirs pour en retirer quelques goutelettes glaçées. Son regard ne se posa pas sur son voisin, cherchant à fuir sa présence, et son aura blanhce qui commençait à attaquer la sienne, qui elle ripostait timidement, se brouillant d'un peu de gris. Luka rouvrit les yeux, constatant que la serveuse le contmeplait, son sourire toujours planté aux lèvres. Il commanda un café sans sucre sans vraiment savoir ce qu'il disait, tout en fixant avec intérêt le plafond, avec l'impression qu'il allait se faire bouffer tout cru.
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