L'Odeur Des Feuilles. | Jacob |

Je la regardes me demander si je suis taré. Je la comprends mais elle ne peut comprendre mon souhait. Je lui aurai bien dit que c'est de l'entraînement mais à quoi bon? Il vaut mieux qu'elle le comprenne seule! Je regarde ses cheveux épares et son sac à terre. J'ébroue ma massive tête. Mes longs poils bruns suivent le mouvement. Ma gorge exprime mon avis par un ronflement sourd. Je la regarde doucement. Je le vois et je le sens qu'elle est mal à l'aise de se change devant quelqu'un d'autre. Intérieurement, je rigole à plein poumons. Tu aurais pu lui dire qu'elle pourra bientôt se changer en courant ou autre. Enfin quand je la regarde, je me revois avec mon père. J'avais l'air aussi ridicule et je me sentais mal à l'aise mais il n'a pas de choix. Il en va de notre survie. Elle se change en louve grise. J'émet un sifflement retenu. J'ai beau être le mâle Alpha, j'en restes pas moins de sexe masculin et jeune en plus. Je la regardes et je l'écoute avec respect. J'éclate d'un rire franc en l'écoutant et voyant ses yeux coléreux. Je m'approche d'elle et répliques d'une voix grave:

- Lilian, une règle d'or: toujours s'attendre à tout et à tout moment... Comment vas-tu aujourd'hui?
J'arrête de tourner autours et je m'assois devante elle. Je suis plus grans qu'elle et cela est comique de voir le contraste. Depuis je la connais depuis deux ans et je l'observe de loin mais je la voyais pas si petite ni si jolie. Mais cela est un détail! Ton but premier est de sauver sa jolie petite tête des Akumas et de sauver les humains.

Je glapis. Du shopping?! Au secours! Je me relève doucement et je me transforme. Mes poils bruns deviennet bronzage. La tache noir devient tatouage. Mes muscles se forment doucement et ma taille reprend son 1m85. mon pantalon se remet doucement ainsi que mes baskets. Seulement, il n'y a rien qui apparaît pour me couvrir le haut du corps. Je me redresses doucement, affichant de beaux abdos. Je n'ai pas la grosse tête, cepandant. Une fine bande bleu flash dépasse de mon patalon. Je portes toujours des jeans tailles basses. Je me redresse et souris. Sait-elle que même en humai,on garde une grande agilité? Je souris, charmeusement et Je réplique gravement:

-D'accord. Si je gagne, on se fait une balade...

Ma voix est encore plus grave qu'en loup et mes yeux bleu plus foncé. Le soleil me frappe le dos de ses millions d'épis de maïs et je cache les yeux bleu de la louve. J'hoche la tête et je me prépare à courir. Mais avant je précise une chose:


- Quatre manche. Quatre immobilité de toi envers moi et quatre touche de trois secondes pour moi. Je n'ai pas la même force que toi en humain!

Je l'observe attentivement comme mon père me l'a appris. Soudain, je me mets à courir vers elle et fait un salto au dessus de son superbe corps de louve. J'attéris derrière le bosquet et je me mets à courir.

Je cours, je contourne des abres. J'ai du souffle à revendre et de l'endurance à donner. Je cours et je sens la louve proche de moi. Soudain, je sens son souffle contre ma nuque. Je pivotes en me baissant et je me mets à courir dans le sens inverse. J'ai eu le temps de voir les yeux de Lilian. Les beaux yeux bleus de cette demoisselle me font des gargouillis dans le ventre et ma gorge se serrent mais mon armoire de glace ne montre rien de ce que je ne veux pas montrer. Je m'arrête au loin et la regarde. Mais yeux noirs/bruns l'observent au loin. Je l'attends. Comme si je me rendais. Ma respiration est haletante et mon torse se soulève comme les feuilles volent au vent. La fuite du vent sur les ailes du vent me permette de tout ressentir. Cette louve est très douée, dommage qu'elle soit maladroite. Pourtant malgré le fait évident qu'elle est une excellente tueuse d'Akuma, je ne peux m'empêcher de me tracasser pour elle. Elle a été la première louve de ma meute et la première fille à qui je parle sans trop soucis. Enfin, c'était avant. Maintenant ca va beaucoup mieux.

Je la regarde s'approcher à grande vitesse et me plaquer contre le sol. Je m'accroche à ces pattes avant et on tombe à la renverse tous les deux. Nos regards se croisent et je souris amusé et pourquoi pas charmeur, sans le vouloir cependant. Soudain, je recoit une grosse lèche baveuse de sa langue de louve. Je suis surprit mais mon sourire ne bouge pas. Elle se retire en grognant. Je ne comprends pas ce qu'elle veut dire mais je m'essuie le visage du bras avec une feinte dégoutée. Cependant... A-t-elle oubliée que les humains ne comprenennet pas les loups? Je comprends que ma punition d'avoir joué ainsi est qu'elle m'offre la victoire quand je la vois devenir humaine. Je la regarde se transformer. Un frisson parcourt mon échine et je m'approche d'elle. Je baisse la tête et les yeux sur elle. Un sourire joueur au lèvre. Je redevient enfant. Je m'approche de plus en plus d'elle... Soudain, je me prenche et mes lèvres lui frôlent la joue. Avant de me faire engeuler, je me retourne et me transforme en loup. Je me mets à courir et à bondir vers des rochers et des arbres abbattu. Je ris intérieurement. Je disparait de sa vue et me cache derrière un énorme tronc d'abre. Cet arbre est un sapin vieux de quelques millénaires. Il me cache parfaitement. Mon excellente ouie et mon excellente vue me permet de savori quand elle arrivera...

Lilian soupira doucement, appuyée sur ses bras, tête levée vers le haut du ciel. Elle prenait un peu de temps avant le début de la deuxième manche. La jeune fille jeta un regard en coin à Jacob, qui avait l'air de s'amuser comme un gosse, tout en s'approchant d'elle. Un oeil fermé pour échapper à un éclat de soleil, elle l'observa s'approcher de plus en plus, quelque peu interloquée. Il ce pencha rapidement, et un contact doux et légèrement humide fôla rapidement sa joue.

Lilian resta figée, le coeur battant comme une donzelle devant l'autel de son mariage, les yeux fixés vers le lointain sans le voir. Enfin, elle passa sa langue sur ses lèvres, ce redressa rapidement, et tenta de partir à la recherche du loup Jacobin. Ses pas s'étouffaient sur le sol feuillu, tandis qu'elle respirait un peu trop fort, le contact encore légèrement mouillé, comme un coton imbibé, sur la joue. Elle jeta un regard dans tout les sens.

-Et dire que c'est lui qui est censé m'attraper ! lança t'elle d'une voix pâteuse.

Enfin, elle prit une grande inspiration, sauta au dessus d'un paquet de fougères, et ce mit à crourir, tentant d'économiser son souffle. Ses cheveux ondulaient derrière elle, pâles, et faisait ressortir son air concentré. Elle jeta un coup d'oeil à un arbre, un pressentiment coincé dans la gorge. Aussitôt, elle s'arrêta, une jambe en avant, l'autre en arrière. Elle recula de plusieurs pas, avant de s'éloigner de cette arbre, tapant un tronc de la main, s'attendant à ce que Jacob la rattrape, vu qu'elle était tombée dans son piège grossier. La blonde expira brutalement par la bouche, avant de brutalement, sur une inspiration étrange, plonger sous un tronc d'arbre mort et creux, qui barrait le passage, comme beaucoup ici. Elle posa une main sur son nez et sa bouche pour étouffer sa respiration, ce redressa, avant d'enlver rapidement sa veste en jean et de a lancer le plus loin possible. Elle jeta un regard à son oeuvre. La veste pendait le plus naturellement du monde sur la branche d'un arbre, comme un pendu. Aussitôt, elle ce dirigea vers la base de l'arbre, là ou l'espèce de tunnel trouvait son entrée, et évalua la largeur du tronc. Par chance, c'était un chêne spacieux. Elle tâtonna l'intérieur moussu, chassa avec un souffle étouffé d'horreur une limace. Puis, en battant des jambes, la tête la première, elle ce glissa dans le tronc, ondulant comme un serpent. Par chance, il y avait encore de la place autour de ses épaules pour lui permettre d'avancer. Lorsqu'elle fut entièrement entrée, le souffle battant, elle posa son menton sur ses mains jointes.

Je l'écoute et je ris dans ma barbe. Cela s'appelle une embuscade, ma belle. Je l'écoute respirer. Elle a le souffle court. Mes oreilles frémissent tranquillement. Malgré le fait que mon coeur bat à la chamade, j'arrive à rester stoïque. J'ai du mal. Je passe ma langue sur ce que me sert de lèvres. Mon baiser sur sa joue reste imprimé sur celle-ci. Mon attetion s'estompe. Je me souviens de la douceur de sa peau sous elle. Je me souviens de son parfum, si doux. Je me souviens de la souplesse, je me souviens de l'odeur de ses cheveux. Je n'arrive pas à revenir sur tête. Qu'est-ce qu'il m'arrive? Pourquoi est-ce que je pense à elle ainsi? Pourquoi as-tu encombré mon esprit de ton si beau visage, Lilian? Mon échine vibre et je ne puis rester immobile. Je bondis hors de ma cachette. Je vois sa veste voler et attérir telle une pendue. J'observe cette veste. Je respire pronfondément; son odeur est toujours là. Je m'en ennivre comme si c'était la dernière fois que je peux la sentir mais parès tout, cela peut très bien être la dernière! Lilian peut trouver un copain ou pire se faire tuer. Ou même moi, je peux très bien me faire tuer pendant une attaque d'Akuma. Je baisse mes oreilles. De sordides pensées envahissent mon cerveau. Je m'approche de la cachette de Lilian. Je passe devant et soudain, je sens son odeur. Je sursaute et bondit en arrière. Je me mets truffe à terre et sens. Elle est près de l'arbre. Je bondis dessus et cherche du regard l'aura blanche. Je ne la vois pas et c'est logique, elle est en dessus de moi!

J'ecoute. Je suis omnubilé par cette odeur, ce visage, cette douceur. Je secoue la tête et j'entends un bruit en dessous de moi. Je bondis et je vais à l'arrière en fesant le moins de bruit possible. Je prends une grande inspiration et je baisse la tête. Je vois un petit pieds et une jambe dans la tronc. J'arrive à toucher sa peau du bout de langue. Je mumure:

-Lilian Arletta, je t'ai trouvé... Enfin.

Ma voix a un accent doux et dur à la fois. Je recules et te couches au loin. je vois ainsi la jeune fille. Elle n'a pas le choix d'avancer ou de reculer. Je me mets à penser, patient. Sa peau est encore plus douce et à un doux goût que dans tes souvenirs. Je pousse un grognement de mécontetement. Elle me pertube cette fille, c'est pas possible! Je secoue vivement la tête et je la regarde sortir de son tronc. Je commence à me dire que je vais devoir prendre mes distances face à elle. Je me relève souplement, majestueusement et saute sur le tronc. Je me tiens près à attraper Lili à sa sortie... Il faut que je m'occupe aussi non, je vais faire une connerie et je risque de la vexer...

Le ton de Jacob avait cette chose formelle qui inquiète aussitôt. Lilian ce mordit fortement les lèvres, ce sentant coincée. Si la cachette était excellente, comme trou à rat elle n'était l'idéal. La langue de Jacob râpa un peu de sa peau. Lily soupira brutalement, comme si elle se libérait d'un grand poids,

-On peut dire ça, grommela t'elle d'un ton étouffé.

Sans réfléchir, Lily ce redressa, coincant sa tête contre les parois de sa cachette.

-Ouatch ! Ce n'est rien ! Non, t'en as rien à foutre...

Jacob était prêt à la cueillir à n'importe quel endroit d'où elle pouvait sortir. Aussi, la louve ne souhaita t'elle pas jouer les fiers à bras, et rampa jusqu'à la sortie tel la chenille sortant de son cocon. Elle jeta un regard à l'extérieur, avant d'avancer encore un peu et de tomber dnas un magnifique roulé boulé au sol. Le souffle gourd, elle s'assit, jambes écartées, chevelure en désordre, et leva brutalement le bras, s'exclamant :

-J'ai perduuuuu !

Les muscles de Jacob étaient serrés comme si il allait s'auto détruire de seconde en seconde. Ses omoplates étaient serrées les unes contre les autres à s'en exploser. Lilian restait silencieuse, encore éberluée parce qui arrivait. Il ce retourna, enfin, les yeux remplis de sentiments. Lily lui adressa un petit sourire un peu timide, alors qu'il la redressait. Ses cheveux blonds étaient emmêlés dans son dos. Elle observait toujours le garçon, avec l'impression d'être particulièrement bête et...

Ses lèvres contre les siennes. Lilian ferma les yeux, à son tour, les mains fortes enserrant sa tête. Les ailes duveteuses d'un papillon effleurèrent ses propres lèvres. Déjà, elle voulait qu'il se pose plus longtemps sur ses lèvres, mais il s'envolait loin. Ce n'avait était guère plus qu'un effleurement, une bravade, une torsion à l'égard du réglement. Des étoiles explosèrent dans les yeux de Lilian, sa tête tourna. Elle reprit contact avec la réalité, observant Jacob. Ses doigts touchèrent ses lèvres, comme pour y récupérer un peu de cette poudre qui macule les ailes fragiles des papillons. Lilian avanca d'un pas vers Jacob. Il marmonna quelque chose qu'elle comprit, grâce à son ouïe surdévelloppée.

La blonde soupira lourdement, baissant les yeux au sol. Elle releva néanmoins les yeux, et lança :

-Hé bien, il semblerait que je t'avais promis une balade... En avant, Jackie ! Il y'a de beaux coins !

Elle s'avanca, souriant doucement, et saisit la main brûlante du Garou, l'immobilisant dans la sienne. Elle entraîna l'ALpha de sa démarche de fée, s'exclamant régulièrement :

-Il doit forcèment y avoir les premières fleurs ! Je veux les voir ! Jackie, un baiser pour cleui qui trouvera la première fleur !

A un moment, elle ce tourna vers le loup.

-Hé, Jackie... C'était bien. Ton touché papillon.

[dsl, je sais plus écrire ><...]

Je suis hors de mon corps. J'observe le scène de l'extérieur. Je vois mes lèvres se coller aux siennes. Je vois des étoiles pleins les yeux de la louve. Je la vois porter ses mains à ses lèvres... Je la vois soupirer, rire. Je l'attends parler. Je sens sa main aggriper la mienne et m'amener à la recherche de perce-neige... Même si il n'y a pas beaucoup de neige. Je sens sa petite main dans la mienne immense. J'ai une douce chaleur au creux de mon ventre. Mon coeur paplpite comme si il allait lâcher. Ma tête me tourne. Mes lèvres, je passe régulièrement ma langue dessus. Je goûte encore ses lèvres. Je deviens fou, n'est-ce pas?

J'attrape au vol son sac et sa veste avant de me faire embarquer par cette fée pleine d'entrain. Des idées folles me traversent l'esprit. Si elle resentait la même chose que moi? Si notre amitié était plus fort encore que on ne le croit? Si on était ensemble? Cette dernière question me rembrunit. Elle serait la cible des Akumas pour m'avoir. Ils savent qu'une meute sans Alpha risque beaucoup. Je sers les dents un moment.

*Papa, pourquoi moi?*


Je me pose sans cesse la question. Qu'ai-je en plus que les autres non pas. Soudain, je vois une fleur. Je m'arrêt net. C'est un petit perce-neige blanc, frêle et seul. Il est cependant magnfique. J'attrape Lilian par la taille et l'attire contre moi. J'exprime doucement:

-Je crois que vous me devez un baiser, M'zelle Lilian...


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Mon sourire est drageur mais très romantique. Il est doux et tendre. Mes yeux sont brillants et mon corps est imposant. Je suis obligé de baisser la tête pour mieux voir ce charmant visage. Je te promet de tout faire pour te plaire. Je te promet que je ferai tout pour t'empêcher de souffrir. Je te promet de t'aimer si tu me le demandes. Je te promet de te protêger... Je te promet de te voir. Je te promet tant, Lilian Arletta. Lilian Arletta, vous comptez beaucoup pour moi.