S'est quand ont pense avoir raison que la vie cogne à notre porte pour nous ramener à l'ordre ... ( Pharen)

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Le ventre de la femme montait et descendait dans un mouvement répétitif. Elle semblait dormir, mias encore une fois ce n'était qu'une illusion .. Pour Esmera tout était une illusion ... La jeune femme était allongé sur sa veste , cette dernière étant étalé sur un rocher plat. La femme portait une camisole laissant voir le bas de son ventre. Elle ouvrit vivement les yeux et se redressa rapidement. Elle se sentait observer ... Elle regarda autour d'melle, mais ne vit rien .. Elle attrapa un élastique dans sa veste et attacha ses cheveux blond .

Le silence autour D'elle était oppressant ... trop opressant ... Elle sentait toujours la présence et le regard sur elle. Elle réenfila sa veste de cuir et croisa ses jambes pour s'assoir dansu ne position plus comfortable. Elle ferma les yeux à nouveau pour essayer de sentir la présence , mais dans son esprit il n'appar qu'une forme embrouillé . L'odeur du sel marin lui vint au nez et la força à rouvrir les yeux. Elle se leva doucement et se dirigea lentement vers la mer ou elle observa l'eau . L'eau était une force de ce monde qui fascinait l'akuma. Elle avait passé sa vie à essayé de comprednre comment l'eau fonctionnait .. mais rien n'avait pus éclairé la femme qui se contentais de profiter de ce qu'elle pouvait lui amener ...

Il faisait beau en ce jour d'été. La chaleur était également au rendez-vous, profitant de la lumière pour se cacher entre les arbres dont les feuilles apportaient l'ombre. Et en tant normal, un peu de fraîcheur. Seulement aujourd'hui le temps était lourd, et il était dur de ne pas étouffer. Pharen avait trouvé la solution : un bain dans la mer, dont l'eau fraîche semblait la meilleure solution contre le sensation de se trouver dans un four. Après une baignade plus ou moins longue, il avait fini par se rendre compte que personne ne semblait avoir eu la meme idée. Ils avaient tous tort, parce que l'eau était plus que bienfaitrice. Surtout après une gueule de bois, en fait. Il sortit de l'eau, prit sa serviette et se sécha. Il commençait à se sentir seul. Un peu de compagnie serait la bienvenue. Il se rhabilla lentement, puis commença à marcher sur le chmin du retour.

Mais il sentit quelque chose qui le fit s'arrêter net. Apparemment, un autre Akuma se trouvait dans les parages. Abandonnant ce qui lui servait de bagage sur une branche basse, il commença à s'approcher à pas de loup. Il s'agissait en fait d'une représentante de la gente féminine, dont l'aura voletait autour d'elle. Les cheveux blonds, coouchée sur ce qui ressemblait à une veste en cuir, il la regarda pendant quelques secondes qui semblaient interminables. Il vit bien qu'elle avait décelé sa présence, mais l'idée de se retourner ne semblait pas lui effleurer l'esprit. Elle finit par se diriger vers la mer, laissant les vagues lui effleurer la peau. Il finit par la rejoindre sans aucun bruit, et décida de la faire sursauter.

<< -Tu risque de t'ennuyer, à rester là toute seule. >>

Il attendit patiemment qu'elle se retourne.

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Esmera sursauta effectivement, mais ne se retourna pas tout de suite. Elle prit le temps de soupirer , de passer la main dans ses cheveux et de regarder le ciel avant de se retourner et de planter son regard gris, tentateur das celui de l'homme de son espèce. Un sourire malicieux, mais mauvais s'incrit sur ses lèvres, alors que le vent soufflait et transprota l'odeur marine au narines de la femme. Elle donna un petit coup de peid dans le able faisant levé de la poussière et son regard changea pour devenir aussi mauvais et malicieux que son sourire.

- Je ne vois pas l'utilité d'avoir de la compagnie quand la seule chose qu'elle va faire s'est s'assoir à côté de moi et se plaindre ou encore ne rien dire ... je préfère rester seule ... le jour du moins .. la nuit .. s'est une autre histoire ...

La femme reporta son regard sur l'océan et détacha sa veste pour la laisser tomber sur le sol. Sa peau blanche n'en fut que encore plus dévoiler par ses épaules et son plexus découvert de tout tissus. Sa camisole débuta au début de sa poitrine et finissait un peu après le nombril ...

Tout se mélangeais. La chaleur, la fraîcheur, l'eau, le sable, le soleil, l'ombre. Tout ne faisait plus qu'un dans cet amas de nature. Les vagues attrapaient le sable, l'humidifiant de son écume blancheâtre. Les feuilles des arbres se balancaient doucement au contact de la légère brise qui passait entre les troncs, avec une agilité qui laissait suspicieux. Pourtant l'étoile qu'était le soleil semblait vouloir calmer tout ce remue-ménage en mettant tout le monde à rude épreuve sous sa chaleur. Il était concurrencé par la mer, qui faisait le contraire. Tout cela était bien fatiguant. La petite blonde en face de Pharen avait évidemment sursauté, avant d'être sûrement exaspérée par cette attitude. Elle avait soupiré, et s'était retournée avant de rétorquer de façon plus que malpolie. Elle lui faisait clairement comprendre que s'il voulait se plaindre ou ne rien faire, il pouvait dégager. Cela eu le mérite de le mettre un peu en rogne, surtout en entendant le commentaire sur ce qui se passait une fois la nuit tombée. Même si, à vrai dire, il ne savait pas ce qui pouvait l'énerver dans l'attitude de la blondasse. Son sourire, ou alors le fait qu'elle enlève sa veste comme une provocation ?

<< -Dis-moi ma petite, tu espère quoi ? M'intimider, me faire peur ? Me mettre dans ton lit aussi ? Non mais j'en ai presque rien à faire de ce qu'une petite ex-humaine comme toi fait de ses nuits. >>

Le ton était narquois, le sourire dans le même chemin. Sérieusement, il y en avais qui s'y croyaient. Seulement, certains avaient le mérite de le pouvoir.

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