Qui vole un oeuf vole un boeuf ! Et qui vole une pomme ? [LIBRE]

Jules ...

Qui vole un oeuf vole un boeuf ! Et qui vole une pomme ?

[Libre]

Cinq heure et demi. La sonnerie de l'école primaire avait déjà retentit depuis une bonne demi-heure.Un petit garçon blond vêtu d'une chemise bleu clair se promenait dans les rues sales et grise de ce qu'on appelle les quartiers déchus. Son petit sac sur le dos, le petit bonhomme rentre chez lui avec la faim au ventre. Il regarde le sol, s'autorisant quelques coup d'oeils aux alentours cherchant de quoi rassasier son petit appétit. Et oui, à son âge, il est dur de se trouver à mangé, surtout quand on ne dépend que de soi.

Il marche encore, évitant les flaques d'eau pour ne pas salir ces chaussure blanche. Il saute par-çi et par-là et finis par apercevoir une petit épicerie avec devant un étalage de fruit. Sa faim gronde de plus belle, il marche alors un peu plus vite et s'arrête devant cette étalage. Une pomme verte plutôt appétissant attire son regard. Déjà le petit garçon se voit en train de la manger ... Mais le problème, c'est le petit écriteau au dessus de la cagette de pomme avec des nombres écrit à la craie blanche. Le petit bonhomme secoue sa poche avec un air triste. Pas le moindre bruit de pièce se fait entendre ... La seul chose qui lui restait à faire, c'est s'en allait ... Mais rien y fait, la faim est trop forte.

Le petit blondinet regarde autour de lui, personnes. Le vendeur était à l'intérieur de son épicerie, le petit n'était donc pas dans son angle de vision. Alors, hésitant, le petit garçon tendit sa petit main tremblante vers la pomme tant rêvé. Il s'en saisit ensuite, mais le vendeur le vit faire et s'en partit aussitôt pour la reprendre. Jules étreignit plus fortement sa pomme avant de s'en aller à toutes jambes. Il tourna rapidement à l'angle de la deuxième ruelle, se retournant sans s'arrêter pour voir si l'homme était toujours à ces trousses.

Un choc ... Du noir ...

Mais une chose dure l'arrêta dans sa course. Le petit blond serra encore plus fort son trophée pour ne pas qu'il tombe sur le sol sale. Dans qui ou quoi était il rentré ? Il n'allait pas tarder à le savoir ...

Je marche à grande enjambée la mine peu commode, du moins je me doute car les gens me regardent de travers. Je sifflote de temps à autre mais m'arrête vite sentant que la partie "bon vivant et heureux" ne me convient peu ... Moi qui est mort il y a des lustres.

Je passe rapidement une mains dans mes cheveux ébouriffés, passant devant une école primaire où des petits gnomes braillaient en sortant de la porte en courant. Mes lèvres se tordent légèrement regardant toute ces jolies âmes se promenées innocemment comme des agneaux ... je m'en vais rapidement disparaissant comme une ombre.

Mes bottes compensées font un bruit sourd sur le béton gris, je regarde un point au hasard enfaite je marche juste me vider l'esprit ... ce n'est pas la totale réussite dit en passant. Alors que les gens se retourne à mon passage encore et toujours, j'y apporte à peine mon attention. Mon visage pale saupoudré de maquillage, je porte un slim violet avec quelque paillette et une longue veste ou mes mains se perdent dans des profonde poches.

Je passe devant un épicier prenant une pomme à la vitesse de l'éclaire ni vu ni connus, je souris aimablement au vendeur ... les humains sont vraiment idiot. Je rigole me postant dans une ruelle un peu plus loin.. Je croque dans la pomme m'adossant au mur gris et froid du bâtiment. Je soupir quand d'un coup je sens un choc. J'avale se que j'ai en bouche avant de porter mon regard vers ... un gamin. Je le regarde avant de remarqué une pomme verte entre ces petits doigts qui sert contre lui comme un trésor.

- Tu ne peux pas regardé où tu marche petit ?!

Ma voix se fait assez sèche tout en gardant une pointe de moquerie fasse à ce petit être ... et dire que j'étais petit comme ca !

Il ne fallut pas plus de quelques secondes pour que le petit blond retrouve ces esprits. Lorsqu'il rouvrit ces yeux bleus en direction du sol, il y apperçuent d'énorme botte noir.

La respiration du petite homme reste calme, régulière. Il n'a pas peur de l'homme qu'il allait bientôt appercevoir. Il n'est pas comme le reste des enfants qui se serrait enpréssé de crier et partir en courant dans tous les sens. Il remonte peu à peu son regard. Arrivant maintenant à niveau du slim violet à paillettes, puis sur une longue veste. Le petit ce demande déjà pourquoi l'homme était habillé de cette manière, n'était-ce pas les filles qui portaient du violet et des paillettes ? Mais bon, cela Jules s'en moquait un peu, peut lui importe comment s'habille un tel ou un tel. Lui ce qu'il veut, c'est rentrer chez lui et manger sa pomme.

Sa pomme verte qu'il serrait toujours dans ces petites mains blanches. L'homme lui addressa la parôle, il fallut quelques secondes avant que le petit homme accorde un minimum de son attention à l'homme. Il leva sa petit bouille ronde, croisant le regard noir et glacial de l'individu se trouvant devant lui. Jules regardait l'homme sans vraiment le regarder, l'observant un peu, si le petit bonhomme aurait voulu definir cette personne, le mot exentrique correspondrait parfaitement.

Après un cours instant, Jules fit un signe de tête à l'homme, signe qu'il acquiessait ce qu'il vennait de dire. Le vendeur ne faisait plus aucund bruits, peut être était il retourné dans son magasin. Peut importait Jules. Une fois le signe de tête fait, le petit blond fit un pas en arrière et entrepris de passer à côter de l'homme pour pouvoir retourner chez lui et enfin pouvoir grignoter un peu et faire taire cet estomac qui criait famine.
Il repartit alors vers le côté de l'homme, faisant attention de ne pas le toucher, et ce dirigea vers une autre rue qui le conduirait chez lui. Un chez lui vide certes, mais là-bas, le petit se santait en sécurité, et pui il n'avait nul par d'autre où aller, et ces devoir l'attendaient.

Je croque dans ma pomme regardant le petit bonhomme d'un air plutôt détaché. Je me décale du murs me mettant face à l'enfant qui lève son visage vers moi ... Euirk les gosses et leur visage d'ange et d'innocence. Je lève les yeux au ciel croquant une dernière bouché de ma pomme avant de la jeté derrière moi.

Il avait l'air complètement déconnecté de la réalité je me baisse légèrement essayant de capté un peu de vie dans se petit corps, je lève un sourcil me redressant alors qu'il fait un signe de la tête. Je lève ma tête vers la rue principale, voyant le vendeur au loin mais il partit ne nous voyant pas quand d'un coup je remarque le petit bonhomme continué son chemin ... Oh oh pas si vite ! Je le rattrape en deux grande foulées et je lui prend sa pomme d'un geste rapide. Je joue avec la faisant passé entre mes mains.

- Tu sais que c'est mal de volé petit ! A ton âge c'est pas très conseiller ...

je rigole me baissant vers lui et lui tendant la pomme d'un air sournois, bien sur j'allais la lui enlevé dé qu'il l'aura frôlé mais je la lui rendrais après, je vois bien que cette pomme est précieuse pour lui. Je me demande ou est sa mère ? Comment ces parents peuvent le laissé volé des choses comme cela ? Sous mon maquillage je détaille son petit visage.

L'homme finissait sa pomme, mais le petit garçon n'en accordait aucun intrêt, tlui il voulait rentrer chez lui pour faire de même.Son ventre criait famine. Et oui, cela faisait déjà longtemps qu'il n'avait pas mangé. A midi, le petit bonhomme n'eut comme seul repas des petits gateaux volés à ces camarades. Et encore, le blondinet n'en volait pas beaucoup, il trouverait injuste que ces camarades n'est plus de quoi gouter. Car tous de même, le petit homme était bien éduqué. Il ne volait qu'en cas de nécessité, et seulement ce qu'il avait vraiment besoin. Pas de jouets, pas de distractions, seulement l'utilitaire.

Le petit garçon suivit de ces yeux bleutés le reste de pomme de l'homme étrange. Pour lui, il restait de quoi grignoter un peu, jamais il n'aurait jeté une pomme comme ça. Mais lorsque les gens sont à l'abri du besoin, il ne se rendent pas compte de la chance qu'ils ont.

L'homme se baissa devant le petit bonhomme qui ne bougeait pas d'un pouce, il détourna juste le regard lorsque celui si croisa le sien. Jules eu quand même le temps d'appercevoir les yeux de l'homme qui semblait sans vie, vide. Mais il n'avait pas peur. Le petit profita de l'inatention de l'homme pour essayer de rejoindre sa maison, mais l'homme le rattrapa sans mal et lui prit sa pomme, son repas, son trophée. Une pointe de déception apparut dans le regard du petit qui baissa la tête. Il le savait, rien ne servait de perdre son temps. Il ne récupérerait pas sa pomme, il ne lui restait plus qu'à partir.

L'étrange personnage lui fit la moral. Sa oui, Jules le savait qu'il n'était pas bien de voler, mais il n'avait d'autre choix. Il bougea donc légèrement sa petite bouille de heut en bas pour lui montrer qu'il acquiessait, tout en continuant de regardait le sol. L'homme se baissa de nouveau lui tendant la pomme. Mais le petit n'était pas idiot, il avait remarqué l'air sournois de l'homme, il savait bien qu'il n'allait pas lui rendre. Le petit homme ne tenta même pas de lui arracher des mains. Pourquoi perdre son temps pour des causes perdues ?

Le petit blond se retourna donc, repris le pas habituel pour pouvoir rentrer dans ce qui lui servait de foyer.

Je croise mes bras le regardant du haut de mes 1m ... et des poussières ! Il à toujours le regard baissé sur le béton, il y a quoi de s'y intéressant à rampé par terre ? J'aime pas les personnes comme cela qui ont tout le temps la queue entre les jambes en chouinant et leur histoire ou quoi que se soit ne m'intéresse pas ! Il n'y à personne qui est maitre de quelqu'un, son seul maitre c'est son esprit ... Son ventre crie famine, je le regarde toujours comme s'il allait passé pour mon quatre heure, c'est mon regard habituel malheureusement. Il regarde ma pomme comme si c'était un sacrifice de la jeté, je hausse un sourcil.

J'avais toujours ma main tendu vers lui avec sa pomme, qu'est ce qu'il attendais pour la prendre ? Je ne suis pas si salaud bien que ... Ouarg L'esprit de Lazare plane encore sur moi, sa gentillesse ma affecté au bout d'une semaine seulement. Je soupir regardant le gosse toujours les yeux plantés sur le sol, il a quoi ce sol à la fin ? Il acquiesce d'un signe de tête. Je soupir en roulant des yeux, on dirait un petit vieux même moi qui a je ne sais combien de siècle je ne suis pas aussi aigri.

J'allais la lui planté sous le nez sa pomme mais au lieu de cela il fit volte face et partie en trainant des pieds. Je le regarde en fronçant des sourcils me donnant un air bien plus menaçant. Je tend mon bras je passe mon doigt dans la poignée de son cartable et je tire en arrière sans aucun mal. Je le retourne vers moi pour qu'il me fasse face à nouveau le regardant sévèrement, je lui prend son visage entre ma main la lui relevant sans une once de sympathie ou de douceur.

- Tu es vraiment un gamin sans ambition ... Tu es pire que un cadavre ambulant. Arrête donc de trainassé ton regard sur se sol et regarde devant toi ! Ttss .. j'allais te la rendre ta pomme.

Je prend sa main lui mettant sa pomme assez sèchement, un petit corps comme ca si fragile et si facile à brisé entre nos doigts d'Akuma. Je retire mes mains froide de son visage. Je crois que je lui ai fait peur cette fois, je ne suis pas là pour faire des cadeaux bien que un pleurnicheur comme lui me donne une once de pitier mais je me fou pas mal de ces malheurs, il faut toujours gardé la tête haute.

-C'est quoi ton prénom enfaite ?

Je me doute un peu que son passé ne doit pas être de tout repos mais je ne vais m'étaler dessus ! J'ai assez de problème comme cela pour m'occuper de ceux des autres. Je me relève en soupirant légèrement, je passe ma main dans mon cou en faisant une grimace et je pose ma main sur son épaule l'entrainant avec moi dans la rue retrouvant le soleil de l'après-midi. Mon côté humain me perdra un jour, il me suivait sans vraiment comprendre le pourquoi du comment ... sans ambition je vous le dis, un vrai petit agneau. Je lâche d'un ton assez brusque.

-Qu'est ce que tu veux mangé ? Tu as de la chance tu es tombé sur mon jour de bonté et j'ai l'étrange impression que personne ne t'attend chez toi ... tu peux choisir n'importe quoi.

Les gens nous regardent un peu de travers, j'avais l'habitude de toute façons ... Il a intérêt à ce secoué un peu le petit sinon c'est moi qui m'occupe de secoué cette coquille vide, ca m'exaspèrent tellement les gens amorphes ! Il avait l'air un peu surpris que je sache que personne l'attend, tu parle à quelqu'un qui à plus de 3siècles ! Je lui rend un service et nous en resterons là.

L'homme faisait toujours face au petit bonhomme qui lui ne lui portait pas la moindre intérêt. Le petit garçon savait bien qu'il se lasserait de lui, le laissant ainsi partir; car oui, le petit homme le sait, il n'est pas intéressant. Sa pomme était toujours là, à quelques pas de lui, dans les mains de l'inconnu, mais le petit blond ne s'en souciait guère. Au lieu de ça il passa sa route...

Sans qu'il ne comprenne vraiment pourquoi, il ne pu continuer plus loin, quelques chose lui en empêchait, le ramenant à sa place initiale. Le tirant tel un frêle brindille avec un masse infime. Il ne fallu pas beaucoup de temps au bonhomme pour comprendre que l'étrange homme était derrière tous ça. Il le retourna face à lui, le petit homme ne broncha pas, se contentant de plonger ces petits yeux bleus dans ceux de l'homme qui lui le regardait d'un air sévère et dur. Il saisit ensuite la petite bouille du gamin dans ces longs doigts fin avant de lui parler.
Le petit bonhomme l'écoutait silencieusement et sans bouger. Continuant de le fixer. Une fois que l'homme eu finit son discours, le petit homme prit la parole et lui dit de sa petit voie calme :

"- Alors rendez là moi cette pomme."

Le petit blond continuait de le regardait, respirant calmement, il n'avait pas peur non. Il attendait juste sa pomme qui finit alors par lui être rendu par l'étrange monsieur. Il lâcha ensuite son petit visage, lui demandant son prénom. Pourquoi vouloir savoir une chose aussi peu importante ? Le petit bonhomme n'en avait pas la moindre idée. Il y avait bien longtemps qu'on ne lui avait pas posé de question, bien longtemps qu'on ne lui avait addressé la parole ou accorder la moindre attention. Le petit blond ne comprenait rien, mais lui dit en un souffle :

"- Jules."

Avant de reporter son attention sur le béton grisé de la rue. Un béton tous ce qu'il y a de plus banal. Repartant de nouveau dans son monde ... Un monde où il ne resta pas longtemps. La main blanchâtre de l'homme se posant sur son épaule recouvert par sa petit chemise bleu le sortit brusquement de ces rêveries et le tira vers une ruelle ensoleillée lui demandant ensuite ce qu'il voulait manger.

Ce que tu veux manger ... Cette phrase tourner en boucle dans la tête du petit blondinet. Depuis quand n'avait-il pas mangé un vrai repas ? Sa il ne s'en souvenait plus. Il regardait l'homme, cherchant dans ces yeux une pointe d'ironie ou autre, oui, le petit garçon se doutait bien que l'homme se moquait de lui; Pourquoi serait il aussi généreux sinon ?
Le monsieur devina ensuite que personne ne l'attendait chez lui, était-il médium ou autre ? Le garçon ne broncha pas, se contentant de continuer à regarder à l'horizon.

On longe les vitrines tranquillement, mes yeux s'égare de droite à gauche évitant soigneusement le peu de monde qui se bouscule sur le trottoir. Je baisse mes yeux vers Jules ... hum drôle de nom en passant, il n'avait pas l'air connecté avec la réalité, je fronce les sourcils sortant une cigarette de ma poche pour l'allumer et en tirant longuement dessus. Je passe deux doigts sur mon front frottant légèrement ma peau au bout de mes doigts.

- Ma patience à des limites quand même petit bonhomme.

Je soupir tirant une nouvelle fois sur ma cigarette, je hausse un sourcil voyant de loin un restaurant sympa. Je souris légèrement continuant de marcher calmement, s'il ne veut pas ouvrir son clapet alors je vais choisir, j'avais bien envi d'un café moi. 3 siècles d'existence et vous pouvez lire chez les gens comme des livres ouvert, sacrebleu je crois que ma formation à la torture intensive est pour le moins pas mal pour déchiffrer les gens aussi. Je m'arrête devant le restaurant le trouvant pas mal, je pousse la porte emmenant le petit avec moi, il pourrait rester devant la porte comme un idiot tellement qu'il à la tête dans les nuages. Je lui indique une chaise et je m'assois en face. Je tire sur ma cigarette le regardant un peu derrière mes cils.

- Alors Jules toujours pas décider à prendre un peu ta vie en main, où tu as décider de passer ton existence entière à errer comme un fantôme ? Ce qui est possible si tu le souhaite, je peux toujours arranger cela.

Je rigole le voyant un peu perdus, c'est normale il n'a pas connaissance de notre existence. Peu de gens le sont enfaite et c'est plutôt pas mal qu'ils vivent dans l'ignorance c'est beaucoup plus facile pour attraper des victimes. J'écrase ma cigarette dans le cendrier d'un geste rapide en levant un sourcil perplexe. Je glisse le menu vers lui en plissant les yeux, j'avoue je pourrais le laisser tranquille et ne pas me préoccuper plus de cela de son cas mais aujourd'hui j'avais envi d'embêter quelqu'un et lui me parait un bon candidat surtout avec son esprit effacer et faible qui est comparé au mien complètement écraser et mise en sourdine. Je remonte mes manches découvrant une peau blanche au veine presque noir. Je pose mes coudes sur la table et m'appuie dessus fixant Jules d'un œil noir.

- Si tu avais la possibilité voudrais-tu mourir Jules ?

Une simple question qui glace le sang et fait un dernier tour dans corps de votre auditeur. Je le fixe encore avec un regard à vous transpercer quand la serveuse arrive avec son calepin. Je me redresse d'un coup mon visage à nouveau ouvert et assez accueillant. Je croise le regard de la serveuse un peu perplexe.

- Un café pour moi ...

La serveuse fixe Jules à présent attendant son choix, je souris le laissant se dépatouiller. S'il vie seul sans ses parents il doit savoir faire des choix au pire il se ramasse une gamelle et repars le ventre vide alors qu'il à la chance de pouvoir enfin manger pour se remplis l'estomac, repas offert en plus.

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